Élève du lycée Chaptal (8e arrondissement de Paris), qu'il quitte pour redoubler9 sa sixième au Cours Saint-Louis de Monceau situé rue de Monceau, dans le même quartier, Nicolas Sarkozy obtient un baccalauréat B en 1973. Hésitant entre la carrière de journaliste et celle d'avocat, il s'inscrit à la faculté de droit de l'université Paris X Nanterre10.
Étudiant dans cette université, il y obtient une maîtrise de droit privé en 1978. L'année suivante, il obtient un Diplôme d'études approfondies en sciences politiques, lors de la deuxième session, avec un mémoire sur le référendum du 27 avril 1969 et il entre à l'Institut d'études politiques de Paris section « Pol.Eco.Soc. » dont il sort, en 1981, non diplômé. Selon Catherine Nay, cet échec est probablement dû à une note éliminatoire en anglais malgré d'excellents résultats dans les autres matières11. Il réussit sa maîtrise de droit privé, et se voit délivrer, en 1980, le certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA)12,13,14. Il a l'habitude de raconter que, pour financer ses études de droit, il a travaillé comme vendeur de glaces, livreur de fleurs et jardinier chez Truffaut pendant deux ans15.
Élève au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine, François Hollande poursuit ses études à Paris-II, où il obtient une licence en droit33, puis à HEC Paris34 et à l’Institut d'études politiques de Paris35 (promotion 1974, diplôme section Service public), où il milite à l’UNEF-Renouveau, proche du Parti communiste français4. En 1980, il sort de l’ENAn 1, dans la promotion Voltaire31, où il rencontre Ségolène Royal.
L'élite est la tranche d'une population qui a une place en haut d'une hiérarchie, en pratique celle qui détient le plus de pouvoir. Le terme d’élite superpose les notions de meilleurs et de choix ou élection. Un régime élitiste est une aristocratie.
Étymologie[modifier | modifier le code]
À l'origine, le statut d'élite n'est pas accordé par la détention du pouvoir, mais par l'autorité morale, c'est d'ailleurs pourquoi le terme est employé au singulier. Aujourd'hui il est plus courant d'évoquer les élites.
L'élite comme modèle de l'humain[modifier | modifier le code]
Toutes les civilisations de la vieille Europe se sont efforcées de proposer des modèles humains dans la perspective de se grandir. Dans cette première acception, l'élite est liée à l'idée d'excellence : c'est le kalos kagathos grec [καλὸς κἀγαθός], désignant « ce qui est bel et bon » et par extension « l'honnête homme ». Cette aspiration apparaît dans la cité d'Athènes au ve siècle. L'Athènes de Périclès va porter très haut cet idéal : elle lie la recherche de la perfection esthétique (beauté architecturale, culte du corps) à la quête de l'exemplarité spirituelle. La faute est dans la démesure (hybris), comme le rappelle le mythe de Prométhée.
Dans l'Antiquité romaine, une place particulière est donnée au citoyen là où le droit de cité n'est pas uniformément répandu. Être citoyen est un idéal qui s'accompagne d'un support juridique. Celui qui est citoyen a des obligations envers lui-même et envers les autres. L'exemplarité du citoyen est symbolisée par le port de la toge. L'exemple de Cincinnatus illustre bien ces qualités morales exemplaires. Virgile est tellement saisi par cet exemple qu'il appelle les Romains gens togata. La citoyenneté romaine est exigeante : le fait d'être citoyen confère un prestige qui repose sur cette exemplarité de comportement.
La notion d'élite comme modèle va être modifiée à l'époque médiévale. On s'intéresse moins à la cité des hommes qu'à la cité de Dieu.
Le xviie siècle propose le modèle de l'honnête homme. C'est une notion difficile à définir, mais l'expression est demeurée. L'honnête homme se caractérise par une élégance extérieure et intérieure : distingué sans être précieux, cultivé sans être pédant, galant sans être fade, mesuré, discret, brave sans forfanterie. Noble du cœur, il a l'élégance de ne pas exhiber son moi, la pudeur de ne pas étaler son orgueil. Cette conception repose sur les postulats du classicisme (mesure et élégance), se rattache à Descartes et Pascal (esprit de géométrie).
À partir de la fin des xixe et xxe siècles, on paraît observer une crise de l'élite, avec la disparition d'un modèle humain au sens de la plénitude que celui-ci peut apporter. L'homo œconomicus, commun au libéralisme comme à l'analyse marxiste, qui réduit l'être humain à sa qualité de producteur ou de consommateur et à l'objectif abstrait et unique de « maximisation des ressources », est un modèle mutilé. Homo ethnicus, homo democraticus, homo sexualis sont également des modèles incomplets, qui ne comportent pas d'exigence éthique et se présentent comme cherchant à se hisser vers le haut de la société.
Les élites ou l'élite du pouvoir[modifier | modifier le code] Aujourd'hui,l'élite finit par désigner l'occupation d'une position enviable. « Les élites » au pluriel, est une expression construite par la sociologie contemporaine pour expliquer les transformations politiques des sociétés développées dans une perspective non marxiste. L'utilisation du syntagme "élites" « permet d’embrasser, sous un concept plus abstrait, les divers types de groupes dirigeants ou dominants qui se sont succédé […] et dont les appellations datées ont changé au fil des régimes. [Surtout, il rappelle] la forme plurielle des groupes en lutte dans le champ du pouvoir et leur légitimité en permanence contestée1. »
La thèse marxiste éclaire d'une certaine façon l'analyse des situations de pouvoir dans la société. C'est une lecture fondée sur une analyse économique, qui nie la spécificité du politique. Le fait de détenir les leviers de la machine économique confère à la classe qui le détient l'accès au pouvoir politique (au sens de la maîtrise de l'appareil d'état). L'État ne peut être un arbitre, il est seulement un moyen de domination politique entre les mains des détenteurs du pouvoir économique. Le pouvoir économique est concentré dans les mains d'un petit nombre de familles qui possèdent les moyens de production, et transmettent par héritage ces moyens et le pouvoir politique. Le pouvoir n'appartient qu'en apparence aux élus, en réalité il est aux mains des milieux d'affaires. L'ensemble des hiérarchies sociales, économique, politique se confond en une seule classe qui grâce au contrôle de l'appareil d'État exploite le reste de la nation et retire de cette exploitation un bénéfice matériel mais aussi des honneurs et des privilèges.
C'est contre cette grille-là que s'est construite la thématique des élites. En particulier, les travaux de Vilfredo Pareto (Traité de sociologie générale, 1917) vont réfuter cette analyse marxiste. Les deux postulats du raisonnement marxiste (l'économie régit les rapports des classes sociales, l'idéologie d'une société est celle de sa classe dominante) sont contestés par Pareto. Il affirme que l'économie ne régit pas les rapports des classes sociales ; lui-même est venu à la sociologie justement parce que l'économie n'explique pas tout... les faits économiques eux-mêmes ne s'expliquent pas uniquement à partir de l'économie.
Pareto élabore la thèse de la dépendance mutuelle : il construit une grille originale pour expliquer de quelle façon des mécanismes psychologiques vont expliquer les réalités sociales. Pour lui le problème de la circulation des élites ne se réduit pas à une lutte des classes simplifiée. Ce qui compte avant tout c'est un ensemble de schémas préexistants : l'instinct de combinaison (faculté de s'adapter) et la persistance des agrégats (fait d'être tributaire du passé).
L'analyse de Vilfredo Pareto est socio-caractérologique, et doit peu à la grille économique. Pareto est convaincu qu'il y a circulation, dans toute société, d'une classe à l'autre (plus ou moins lente) qui favorise la mobilité sociale. Pour Pareto toutes les sociétés sont élitistes ; seul le style peut varier : « les élites, qu'elles utilisent la ruse, la violence, n'ont d'autre fin que de perpétuer leur domination ». La démocratie parlementaire elle-même n'est qu'une ruse caractéristique de ce qu'il appelle la « Ploutocratie Démagogie ».
On peut également situer dans ce registre l'analyse des situations de pouvoir aux États-Unis (C. Wright-Mills, The Power Elite2). Pour l'auteur il y a une seule élite, qui présente la particularité de contrôler les trois institutions qui dominent l'État et la société (en circulant entre elles) : le politique, le militaire et l'économique. Les individus qui dirigent ces institutions forment ce qu’il appelle "le triangle du pouvoir". Ils concentrent un pouvoir de décision propre à leur domaine d’importance nationale et détiennent ainsi une certain pouvoir d'influence sur la société
所以荷兰豆和傻客气是精英吗?我自己的答案是:oui et non
ps,我说希望看到住在populair点的地区的妈妈谈谈经验,并不是抵触否定前面的妈妈们的经验。
没有必要非此即彼。做妈妈的总想尽自己的能力给孩子做后盾的嘛。
感谢“精英区”的妈妈的经验,感觉中文,英语还是要从娃娃抓起阿。
我小声说,我怎么觉得在法国做chef de cuisine蛮不错的,如果我儿子做个大chef好像也不错啊
Le salaire d'un chef 3-étoiles oscille entre 12 000 et 15 000 euros mensuels,
En France, impossible de savoir précisément ce que gagne un chef, on parle ici ou là de 150 000 euros par mois pour Yannick Alleno, Thierry Marx et Philippe Labbé seraient également bien placés... On en sait davantage sur un Jamie Oliver dont la fortune est estimée à 75 millions d'euros, ou Gordon Ramsay, qui pèserait près de 31 millions d'euros, contre "seulement" 9 pour Alain Ducasse (attention, ces chiffres varient d'une source à l'autre)... http://saveurpassion.over-blog.com/article-que-gagne-un-chef-de-cuisine-111945913.html