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楼主: fifififi

舞台艺术,以及戏剧的相关词汇

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本帖最后由 fifififi 于 2009-1-14 22:45 编辑

O
Objet. Accessoire pouvant tenir lieu de tout décor ou même remplir une fonction actantielle. Une pièce québécoise publiée en 1924, La Lettre, féerie triste en un acte, d'Antonio Desjardins, est conçue pour un théâtre d'objets.
Objectif et superobjectif. Motivations qui, selon Stranislavski, structurent la stratégie globale d'un personnage. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 85.
Occurence. Apparition d'une unité linguistique dans le discours. Robert 1991.
Opéra. Drame lyrique, entièrement chanté, exécuté au théâtre avec décors et costumes. Bourassa, 1968, p. 33.
Opérette. Comédie lyrique, formée de chants et de dialogues ou pantomimes alternés, exécutée au théâtre avec décors et costumes. La première au Canada, une « comédie mêlée d'ariettes » intitulée Colas et Colinette, ou le bailli dupé, de Joseph Quesnel de la Rivaudais, fut écrite en 1789 et créée à Montréal l'année suivante. Halpenny et Trudel, p. 770-773.
Opsis. Ce qui est visible, livré au regard. Pavis 1987, p. 267.
Oratorio. Drame lyrique exécuté en concert sans décors ni costumes. Bourassa 1968, p. 34.
2009-1-14 22:44:07

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本帖最后由 fifififi 于 2009-1-14 22:48 编辑

P
Pageant. Mot anglais tiré du moyen latin pagina, au sens de scène ou extrait de pièce. Se dit d'un spectacle formé de tableaux réunis par un lien dramatique et destiné aux fêtes populaires. Le Major Jean André, officier huguenot de l'armée britannique, a produit en 1778 le premier pageant d'Amérique du Nord : Meschinanza, écrit par le Général John Burgoyne en l'honneur de Lord Howe rappelé en Angleterre. On a reconstitué à Québec la bataille des Plaines d'Abraham en présence du prince William Henry d'Angleterre en août 1787. Webster 1965; Bordman 1987, p. 20.
Pantalonnade. Farce burlesque centrée sur le personnage de Pantalon, vieillard jaloux et dupé. On a présenté la pantalonnade Le Vieillard dupé en Nouvelle-France (Fort Niagara) en 1757. Robert 1991.
Pantomime. Spectacle composé des seuls gestes du comédien. Se distingue du mime en ce qu'elle vise plus souvent à amuser et qu'elle tient lieu de récit, avec force gestes, figuratifs et même réalistes, remplaçant une série de phrases. Pavis 1987, p. 271.
Parabase. Désigne, dans le théâtre grec, une avancée du chœur vers le public en vue de permettre au coryphée de lui transmette les opinions et les recommandations de l'auteur. Pavis 1987, p. 272.
Parade. Forme d'intervention théâtrale qui se fait à la porte des salles de spectacle ou en se dirigeant vers elles, pour attirer le public (ex. : défilés du Bread and Puppet et du Grand Cirque Ordinaire). Pavis 1987, p. 273.
Paradigme. Axe des substitutions. Ensemble des termes qui peuvent figurer en un point de la chaîne parlée. Voir Syntagme.
Paraphrase. Développement explicatif d'un texte, qui n'en est parfois rien de plus que le déplacement ou le dédoublement synonymique des composantes.
Parataxe. Juxtaposition de phrases sans mot de liaison pour expliquer le rapport qu'elles ont entre elles. Larousse 1995.
Paratexte. Ensemble des énoncés qui entourent un texte. Maingueneau, p. 60.
Parathéâtre. Se dit de formes parallèles du théâtre, comme les pageants.
Parodie. Fable parallèle (du grec para [παρα], marginal, limitrophe, et [ωιδη], ode, chant, fable. Au théâtre : pièce ou fragment de pièce du genre burlesque où l'on travestit une ou des pièces connues (ex. : Les Grenouilles d'Aristophane). Robert 1991; Pavis 1987, p. 274-275.
Partition. Relevé synchronique de tous les arts scéniques, de tous les codes ou tous les systèmes signifiants. Pavis 1987, p. 275-276.
Passerelle. Galerie légère permettant le service au-dessus de la scène. On dit aussi Pont volant.
Pastorale, pastourelle. Pièce ou spectacle dont les personnages sont des bergers ou bergères valorisant le caractère ingénu, spontané, des milieux naturels.  Cette désignation, apparue à la Renaissance avec la découverte des bucoliques latines, s'applique  tout autant à des romans et morceaux de musique. Le genre a été remis à la mode par les idéologies rousseauistes du retour à la nature.
Pathétique. Mode de réception du spectacle provoquant la compassion. Pavis 1987, p. 276-277.
Pathos. Émotion ou passion, amplifiée ou simulée, susceptible, par des techniques propres au théâtre, de susciter ou manipuler dans le public des sentiments naturels de pitié ou de terreur, en vue de provoquer la catharsis. Larousse 1995; Pavis 1987, p. 277.
Pensée. Ce qui dans le discours théâtral, selon Aristote, doit être produit par le langage et relève de la rhétorique, comme démontrer, réfuter, produire des émotions (telles que la pitié, la crainte, la colère, etc.). La pensée constituerait, avec les caractères, le chant, l'élocution, la fable et le spectacle, un des six éléments de la tragédie. Ce concept aristotélicien renverse une des théories platoniciennes de l'art. Voir Enthousiasme et Inspiration.
Performance. Expression artistique consistant à produire des gestes, des actes, un événement dont le déroulement temporel constitue l'œuvre. Se dit aussi de la qualité du rendement de l’interprète.  Voir : Interprétation.  Larousse 1995; Pavis 1987, p. 278.
Péripéties. Changement subit de situation dans une action dramatique ou scénique. Il y a des péripéties de nouement et de dénouement. Robert 1991.
Perlocutoire. Voir Acte de langage.
Persona. Terme latin signifiant « masque à caractère ». On a proposé trois étymologies, dont la troisième semble la plus sure. 1 – Le latin per-sonare, signifiant « résonner », « retentir », ce qui souligne l’utilité de résonateur et de porte-voix du masque.  2 - L’étrusque pharsus, d’où la latin farsus, « bourré », « farci », qui évoque un type de jeu où le masque se porte, la farce.  3 - pharsus serait dérivé du grec persomai [ρερσομαι], forme passive de pertho [περθω], « abattre », « tuer » ; il aurait d’abord eu le sens de « gisant », « revenant », ce qui renvoie aux lémures et spectres des mystères sacrés aussi bien que des comédies grotesques de l’Antiquité. <D’après Mauss.> Voir Personnage.
[url=]Personnage[/url]. Terme issu du latin persona, masque, et agere, agir, gérer : celui qui porte le masque et en incarne le caractère. Se dit des personnes imaginaires d'une pièce, qu’on désignait autrefois comme entre-parleurs ou, d’après le latin, dramatis personæ. L’anglais les nomme characters. Voir Masque, Persona et Rôle.
Philologie. Étude d'une langue par l'analyse des textes (ex. : archaïsmes et créolisation dans Les Belles-Sœurs, de Michel Temblay). Études des textes à travers les différentes versions existantes. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 3. Voir Édition critique.
Pièce à thèse. Voir Thèse.
Pièce-bien-faite. Pièce brillante par la virtuosité de l'intrigue et l'agencement parfaitement logique de l'action. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 138; Pavis 1987, p. 289-290.
Planche. Tablette de bois gravé utilisée pour imprimer, selon un procédé appelé xylographie; ex. : les œuvres de Térence sont imprimées sur in-folios de cette manière à Strasbourg (dite Argentina, 1470, 1496), Venise (1471, 1472) et Rome (1472, 1485). Gravure pleine page imprimée au moyen d’une matrice de bois ou de cuivre; ex. : les frontispices des œuvres de Molière par Jean Sauvé d’après des dessins baroques de Pierre Brissart (1682), ou ceux de Laurent Cars d’après des dessins rococos de François Boucher (1734) <http://www.lub.lu.se/fridhemsborg/English/illex/illex11.htm>. Au plur. : tréteau, scène, ou carrière qu’on y pratique (ex. : « monter sur les planches »). Voir : Frontispice et Xylographie.
Plan d'éclairage. Design selon lequel l'éclairage est programmé.
Plan de feu.  Herse supportant l'éclairage de chaque panneau (ou plan) latéral. Voir Coulisse.
Plaudite.  Terme latin désignant le moment où, dans certaines pièces, un interprète ou le directeur invite le public à manifester à la troupe sa satisfaction. Voir : Captatio benevolentiæ.
Pluridisciplinaire. Juxtaposition de disciplines plus ou moins voisines dans des domaines de la connaissance (ex. : français + latin + grec).
Poétique. Nom : traité, voire théorie  de la poésie dramatique et lyrique. Aristote a écrit une poétique et une rhétorique. Voir Rhétorique.
Poïétique. Terme refait à partir de l’étymologie grecque de poétique ([ροιειν], fabriquer, faire), pour désigner une théorie de la création artistique mise au point par Paul Valéry (Cahiers II, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade » 1988) et relancée par René Passeron.
Polyphonie. Combinaison de plusieurs voix, de plusieurs éléments signifiants dans une action dramatique ou scénique.
Pont roulant . Plancher ou tapis mobile, supporté par des rouleaux, dont le mouvemant est actionné, par exemple, par un cheval ou un véhicule. L'illusion d'avancer est parfois amplifiée par la progression d'un cyclorama horizontal actionné par les rouleaux du pont.
Pont volant . Voir Passerelle.
Poursuite. Phare mobile destiné à projeter la lumière sur un personnage ou sur un objet en mouvement. Voir Projecteur.
Pragmatique. Étude de la parole en ce qu'elle vise à agir sur les intervenants. Ubersfeld 1996, p. 67.
[url=]Praticable[/url]. Plate-forme généralement amovible, utilisée sur scène pour former des tréteaux, ou dans un espace vide pour monter une scène ou une estrade. Larousse 1995. Voir Mansion.
Pratique discursive. Expression employée pour souligner que le discours est une action sociale. Maingueneau 1996, p. 66-67.
Praxis. Action des personnages, y compris la parole, dans la mesure où elle vise un résultat; action qui se manifeste dans la chaîne des événements ou fable.
Présupposé. Implications qui dépassent les simples énoncés explicites et se déduisent, par convention ou par association, de ce qui est visible ou énoncé. Pavis 1987, p. 124-125.
Projecteur. Phare dont les rayons sont réfléchis et projetés en faisceaux parallèles. Voir Fresnelle , Poursuite , Réflecteur et Spot.
[url=]Projection[/url]. 1. Effort de la voix visant à ce qu’elle porte jusqu’au fond de la salle et des balcons. 2. Utilisation d’une image virtuelle sur écran.
Prolepse.  Interruption pour suppléer à l'absence d'un mot ou d'un argument, sentie ou prévisible, dès le début de la réplique d'un autre. Voir Catalepse.
Prologue. Partie de la pièce qui, chez les Grecs, précède l'entrée du chœur. Texte d'introduction incorporé par l'auteur à la pièce (12 vers de Shakespeare au début de Roméo et Juliette), ou prononcé, voire publié lors d'une mise en scène (10 vers de Paul Mascarène comme présentation du Misanthrope de Molière, Annapolis / Port-Royal, [6] janvier 1743). Robert 1991.
Proscenium. Voir Avant-scène.
Proxémique. Discipline étudiant le mode de structuration de l'espace humain : type d'espaces, distances observées entre les personnages, organisation de l'habitat. Pavis 1987.
Psychodrame. Technique d'investigation psychologique qui cherche à analyser les conflits intérieurs en faisant jouer un scénario improvisé à partir de quelques consignes. Pavis 1987.
Psychophysique. Qualifie l'étude des rapports entre les faits physiques et les sensations et sentiments qui en résultent; désigne notamment, chez Stanislavski, l'étude des motivations, intentions ou objectifs à exprimer à travers le corps entier. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 7-8 et 85-86.
Public. Terme désignant tantôt la clientèle d'un théâtre, voire d'un acteur, tantôt les occupants d'une salle. Le public peut faire l'objet d'une opération de marketing ou d'une étude de réception et de consommation de ce bien culturel qu'est le spectacle. Robert 1991.

2009-1-14 22:47:05

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Q
Quatrième mur. Dans le théâtre naturaliste : mur imaginaire séparant la scène de la salle. Pavis 1987, p. 209. Voir Tranche de vie.
Quiproquo. Situation de méprise qui fait prendre un personnage - ou une chose - pour un autre. Pavis 1987, p. 211; Robert 1991.
Quotidien (théâtre du). Type d’écriture de la fin du XXe siècle qui se rattachait sociologiquement à la vie de tous les jours, autour de Michel Deutsch, Michèle Foucher et Jean-Paul Wenzel. On y associe parfois Jacques Lassalle (qui préfère l’expression « théâtre au présent ») et Michel Vinaver.
2009-1-14 22:48:57

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R
Radio-roman . Dramatique radiophonique présentée feuilletons quotidiens ou hebdomadaires.
Radio-théâtre. Pièce de théâtre scénarisée spécifiquement ou adaptée pour la radio.
Rampe. Galerie lumineuse qui borde la scène ou, le cas échéant, l'avant-scène, du côté de la salle. Bouchard 1878, p. 220-221. Voir Feux de la rampe et Herse.
Réalisme. Conception de l'art et de la littérature, selon laquelle on ne doit pas chercher à idéaliser le réel ou à en donner une image épurée. Robert 1991.
Réception. Attitude et activité du spectateur confronté au spectacle. Se dit également d'une séance d'accueil, faite de discours et de pièces de circonstance; la première écrite et offerte en Nouvelle-France, à Port-Royal, date de 1606, et la première au Québec de 1648. Pavis 1987; Robert 1991; Benson et Conolly, p. 299-300.
Récit. 1. Fable (voir ce mot). 2. Discours d'un personnage narrant un événement qui s'est produit hors scène (ex. : récit de Théramène, dans Phèdre, de Jean Racine). Dans le théâtre contemporain, le récit des événements hors-scène est parfois remplacé par une projection, comme déjà dans Le Livre de Christophe Colomb de Paul Claudel. Voir Fable, Projection et Tirade.
Récitatif. 1. Dans certaines cultures, récit donné à voix haute, sur une seule note (recto tono), avec flexions en début et fin de phrase ou de segments de phrase (comme pour la lecture de La Passion dans la messe grégorienne du Vendredi Saint). 2. Dans l'opéra ou la cantate, partie déclamée - et non chantée - dont le rythme et la métrique diffèrent du chant ou de la musique d'ensemble.
Reconnaissance. Identification soudaine d'un personnage, grâce à un témoin ou à un souvenir; elle peut-être tragique (ex. : Œdipe Roi, de Sophocle), comique (L'École des femmes, de Molière), aussi bien que dramatique (ex. : Lucrèce Borgia, de Victor Hugo).
Redondance. Propriété des signes de réitérer l'information, en l'inscrivant notamment dans des systèmes signifiants différents (ex. : geste soulignant un mot). Pavis 1987, p. 327-328.
Réflecteur. Élément d'un projecteur; dispositif destiné à réfléchir la lumière au moyen de miroirs, de surfaces luisantes ou prismatiques. Se dit, par extension, du projecteur lui-même. Larousse 1995.
Reflet. Théorie léniniste, selon laquelle les arts, y compris le théâtre, ne trouvent leur sens que dans la reproduction d'une société. La théorie des reflets va parfois jusqu'à attribuer toute œuvre à un « nous », mettant en question le « je » de l'artiste. La vision brechtienne, au contraire, présente le théâtre comme production réflexive. Voir Brechtien, Gestus et Praxis.
Régie. Organisation matérielle du spectacle selon un cahier de charge, ce à quoi on réduisait autrefois la mise en scène (mise en place). Emplacement où se trouvent les consoles d'éclairage et de son.
Répertoire. Ensemble des pièces jouées par un même théâtre (angl. : stock); ensemble des pièces d'un même style ou d'une même époque; ensemble des rôles qu'un acteur a interprétés ou qui sont dans son registre (angl. : study). Pavis 1987, p. 333.
Répétition. Exercice préparatoire, où on reprend plusieurs fois des passages d'une scène, voire la pièce en entier.
Réplique. Réponse à un discours; riposte; texte dit par un personnage au cours d'un dialogue. Pavis 1987, p. 333.
Représentation. Action (ou son résultat) de simuler, par un langage ou un jeu, la présence d’une personne, d’un lieu, d’un événement.  Il peut y avoir représentation en arts visuels, en danse ou au théâtre.
Reprise. Retour d'une pièce à l'affiche, par la même compagnie, selon la même mise en scène et, normalement, la même distribution.
Rhapsode. Personne ou personnage interprétant sur un mode récitatif des extraits de poésie épique. Un des quatre épisodes du film Kwaidan de Masaki Kobayashi, « Hoïchi Sans Oreilles », se fonde sur le récitatif d'une épopée japonaise. Voir Bonimenteur.
Rhétorique. Nom : traité, voire théorie de la composition et de l’expression efficaces. Conçues pour la communication, certaines de ses règles sont applicables au théâtre (figures de style, gestuelle, mise en espace, projection de la voix). Aristote a écrit une poétique et une rhétorique. Voir Figure de rhétorique et Poétique.
Rime. Disposition identique, à la finale, de mots placés à la fin de deux unités rythmiques. Les rimes sont dites féminines ou masculines, selon qu'elles sont terminées par e muet ou ne le sont pas. Elles peuvent être plates, croisées ou embrassées; pauvres si elles sont réduites à une sonorité vocalique finale (ex. : ami - pari), ou riches si elles comprennent au moins une voyelle et sa consonne d'appui (ex. : image - hommage). Elles sont intérieures si elles sont placées à l'hémistiche. Robert 1991.
Rituel. Séquence cérémonielle d'actions codifiées par des rubriques, se considérant elle-même dans l'ordre du vrai plutôt que du vraisemblable. Pavis 1987, p. 338-340.
[url=]Rôle[/url]. Parchemin enroulé. Ensemble des répliques d'un personnage.
2009-1-14 22:49:26

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S
Satire. Écrit, discours qui s'attaque à quelque chose, à quelqu'un, en s'en moquant. Robert 1991.
Saynète. Petite comédie bouffonne, à mi-chemin entre l'opérette et la chanson comique; genre tiré du théâtre espagnol. Bouchard 1878, p. 235.
Scène. Terme désignant l'espace de jeu et ses dégagements, par rapport à la salle où se tient le public. Partie, division d'un acte où il n'est prévu aucun changement de personnages. Voir Acte et Tableau.
Scène-à-faire.  Scène qui, dans l'esthétique propre à la la pièce-bien-faite, est attendue du public pour la résolution heureuse de l'intrigue : découverte, reconnaissance, pardon. Voir: Pièce-bien-faite.
[url=]Scène à l'italienne[/url]. Espace scénique conçu selon les principes de la Renaissance italienne. Le cadre de scène est perçu comme un tableau, composé en fonction de l'œil du prince, c'est-à-dire de façon à être vu de face, avec dioramas et coulisses peints en perspective. Ne pas confondre avec Italienne (voir ce mot).
Scène tournante . Plateau sirculaire sur lequel sont placés tous les décors d'une pièce ou d'un acte, et qu'on fait pivoter à chaque changement de lieu scénique.
Scénographie. Art de l'organisation de l'espace théâtral. Ensemble des éléments (toiles peintes, praticables, mobilier...) qui déterminent cet espace. Larousse 1995, à décor et scénographie. Voir Décor.
Sémiosis. Opération qui, en instaurant une relation de présupposition réciproque entre un signifiant et un signifié, consiste à produire des signes. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 7, n. 13. Voir Signe.
Sémiotique. Science des signes qui étudie les éléments différenciateurs (ou paradigmes, contribuant au sens par la différence) et les combinaisons avérées de tels éléments sur le plan syntaxique. Tout ensemble signifiant, comme un texte dramatique ou un texte scénique, est dès lors analysable. David et Lavoie1995, vol. II, p. 6-7. Voir Signe.
Séquence. Terme de narratologie : suite orientée de fonctions; un segment formé de plusieurs propositions qui donne au lecteur l'impression d'un tout achevé, d'une histoire, d'une anecdote. Correspond à la division en scènes dans la dramaturgie classique, alors que la macroséquence correspond à la division en actes. Les microséquences sont des fractions du temps théâtral (textuel ou représenté) au cours de laquelle se passe quelque chose qui peut être isolé. Pavis 1987, p. 357.
Sentinelle. Voir Servante.
[url=]Servante[/url]. Veilleuse offrant un éclairage minimal sur une scène inoccupée. On dit aussi " sentinelle ".
Signe. La plus petite unité de sens, provenant de la combinaison d'un signifiant et d'un signifié. En sémiotique théâtrale, le plan du signifiant est constitué de matériaux scéniques, y compris le grain de la voix, alors que le plan du signifié est le concept, la représentation ou la signification qu'on attache au signifiant. Pavis 1987, p. 358-359; David et Lavoie 1995, vol. II, p. 6. Voir Sémiosis et Sémiotique.
Situation d'énonciation. Lieu et circonstances de production d'un acte d'énonciation, tant dans la lecture du texte dramatique que dans la mise en scène. Pavis 1987, p. 361-362.
Situation dramatique. Ensemble des données textuelles et scéniques dont la connaissance est indispensable à la compréhension du texte et de l'action. Pavis 1987, p. 363-364.
Sociocritique. Méthode d'analyse des textes qui se propose d'examiner le rapport du texte au social. Pavis 1987, p. 364-366; David et Lavoie 1995, vol. II, p. 5.
Sociodrame. Technique inspirée de la création collective théâtrale et employée en thérapie de groupe. Robert 1991.
Sociolecte. Langue propre à un groupe donné (ex. : joual).
Soliloque. Discours d'une personne qui se parle à elle-même; monologue intérieur. Discours d'une personne qui, en compagnie, est seule à parler ou semble ne parler que pour elle. Robert 1991.
*Song. Intervention chorale, dans le théâtre brechtien. Voir Chant.
Sotie. Pièce destinée à être jouée par de prétendus simples d’esprit. S’arrogeant une présomption d’innocence, il leur arrivait de se permettre, à la manière des fous du roi, de jouer des satires d’ordre social ou politique. Le Moyen-Âge célébrait une fête des fous lors du solstice d’hiver, notamment à l’occasion de la fête des Saints-Innocents (28 décembre).
Souffleur. Membre de l'équipe de production chargé d'aider les comédiens à se souvenir de leurs répliques. Il était parfois logé sous la scène, dissimulé des spectateurs par une trappe entre-ouverte. Son rôle était capital au temps où les troupes jouaient plusieurs pièces différentes en peu de jours.
Sous-littérature. Écrits qui sont signes (c'est-à-dire transitifs) plus que textes, et situés à l'intérieur de l'idéologie plutôt que contre. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 4, n. 4. Voir Intransitivité et Littérarité.
Sous-texte. Ce qui n'est pas dit explicitement dans le texte dramatique, mais ressort de la façon dont le texte est interprété par le comédien. Pavis 1987; David et Lavoie 1995, vol. II, p. 86. Voir Non-dit.
Spectacle. Ce qui s'offre au regard (performance aussi bien que représentation). Un des six éléments de la tragédie, selon Aristote, avec les caractères, le chant, l'élocution, la fable et la pensée. Pavis 1987, p. 142.
Spectateur. Voir Public , deuxième acception.
Spot. Petit projecteur, à faisceau lumineux étroit, destiné à éclairer un acteur ou une partie du décor. Voir Projecteur.
Stichomythie. Dialogue de tragédie où les interlocuteurs se répondent vers pour vers. Robert 1991.
Stylistique. Étude des effets de style qui marquent une pièce dans sa réalité théâtrale, effets qui relèvent d'une poétique de l'écriture scénique et dramatique. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 4. Voir Esthétique.
Sublime. Catégorie esthétique qui désigne un sentiment faisant sortir celui qui l'éprouve des limites habituelles de sa perception du beau, pour le conduire vers la grandeur ou l'horreur. Ubersfeld 1996, p. 80.
Superstition. Interdits qui ont cours dans le milieu et dont il ne sait plus toujours le sens ni l'origine, comme la pratique de se souhaiter « Merde ! » au lieu de « Bonne chance ! », et celles d'éviter de décorer en vert ou d'employer sur scène le mot « corde ». Voir Corde !, Merde ! et Vert.
Suspense. Moment ou passage de nature à faire naître un sentiment d'attente angoissée; caractère de ce qui est susceptible de provoquer ce sentiment. Voir Attente.
Symbolisme. Mouvement artistique et littéraire qui, en réaction contre le naturalisme, s'efforça de fonder l'art sur une vision spirituelle du monde, traduite par des moyens d'expression métaphoriques.
Synchronie. Ensemble des faits artistiques ou linguistiques considérés comme formant un système à un moment déterminé de l'évolution d'une culture. Voir Diachronie.
Syntagme. Axe des combinaisons. Ensemble de termes formant une unité dans une organisation hiérarchisée de la phrase. Robert 1991; David et Lavoie 1995, vol. II, p. 6. Voir Dénotation.
2009-1-14 22:50:14

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T
[url=]Table (travail de)[/url]. Désigne les premières familiarisations en groupe avec le texte.
Tableau. Division d'un texte dramatique ou scénique, fondée sur un changement d'espace ou d'espace-temps. Constitue une alternative à l'acte ou à la scène (voir ces mots). Bertolt Brecht a revalorisé ce type de découpage (ex : Mère Courage, en 12 tableaux). Pavis 1987, p. 381-382; Ubersfeld 1996, p. 80-81.
Tableau vivant. Technique de production où les acteurs, immobilisés dans une pose expressive, ont des attitudes de personnages de peinture ou de photo (ex. : arrêt sur la Mona Lisa, dans Vinci, de Lepage). En vogue dans le drame et le mélodrame, pour les épisodes qu'on ne pouvait jouer (scènes de champ de bataille), pour fixer des images saisissantes (reconnaissances, surprises de coupables), ou pour contourner l'interdiction de jouer certaines scènes sacrées (dernière Cène, mort du Christ). Diderot a favorisé des tableaux animés et muets. Bouchard 1878, p. 257-258; Pavis 1987, p. 382-383.
Télé-roman. Dramatique télévisée présentée feuilletons quotidiens ou hebdomadaires.
Télé-théâtre. Pièce de théâtre scénarisée spécifiquement ou adaptée pour la télévision.
Temporalité. Caractère de ce qui existe dans le temps. Robert 1991.
Texte-à-dire. Texte dramatique, sans les indications scéniques.
Texte dramatique. Écrit où la théâtralité est explicitement inscrite. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 6. Voir Écriture dramatique.
Texte dramatisable. Écrit dont la théâtralité involontaire provient d'une analogie de structure avec le texte dramatique, comme le dialogisme d'un roman, la relation scène-salle d'une cour de justice, voire le rituel litanique du bottin téléphonique. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 6.
Texte scénique. Produit de la mise en scène, qu'elle ait été produite ou non à partir d'un texte dramatique. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 6. Voir Écriture scénique.
Théâtralité. Caractère de ce qui est théâtral; ce en quoi une écriture, un espace ou un événement se définissent comme configuration d'éléments stylistiques et de valeurs différentielles (costumes, personnages, objets, etc.), réglés, implicitement ou explicitement, par les lois du système théâtral. On peut parler de la théâtralité d'un costume judiciaire, d'un lieu sacré, d'un masque primitif... Pavis 1987, p. 395-397; David et Lavoie 1995, vol. II, p. 4.
Théâtre. À l'origine : point d'observation; apparenté à théorie, point de vue. Le sens de "lieu d'où l'on regarde" (comme dans amphithéâtre), a pris de l'extension : édifice bâti ou aménagé pour la représentation (construire un théâtre), texte préparé pour une mise en scène (théâtre de Molière), et art de jouer sur scène (faire du théâtre).
Théâtre à thèse. Voir Thèse.
Théâtre dans le théâtre. Voir Mise en abyme.
Théâtre documentaire. Voir Docudrame.
Théâtre total. Action scénique ouverte à tous les arts (ex. : Le Livre de Christophe Colomb, de Paul Claudel. Bourassa 1968, p. 38.
Théâtrologie. Étude du théâtre dans toutes ses manifestations et sans exclusive méthodologique. Pavis 1987, p. 415-416.
Thème. Sujet, idée, proposition qu'on développe dans une œuvre. Le thème se détaille en motifs. Robert 1991.
Thèse (théâtre à). Pièce qui illustre une proposition ou théorie particulière que l'auteur propose au public (ex. : existentialisme). Pavis 1987, p. 397-398.
Tirade. Longue suite de phrases récitées sans interruption par un personnage (ex. : tirade du nez, dans Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand).
Topos. Proposition générale ayant statut de lieu commun. David et Lavoie 1995, vol. II, p. 5, n. 9.
Tour de scène . Voir Cintre.
Tragédie. Action scénique dont les péripéties sont mues par la fatalité et dont le dénouement est généralement funeste. Du grec tragoïdia [τραγωιδια], « chant des chevreaux ». De tragos [τραγος], chevreau (anglais kid), pubère, et oïdê [ωιδη], ode, chant, fable. La tragédie grecque, issue des mystères initiateurs, est née sous le premier tyran et elle a fait son entrée dans les Dyonisies sous le dernier. Elle visait la « purification » des initiés en leur montrant l’issue fatale de certains abus de pouvoir. D'après Scarpi. Voir Catharsis.
Tragi-comédie. Tragédie dont l'action est romanesque et le dénouement heureux. Une tragi-comédie française non identifiée fut offerte en Nouvelle-France en 1639; la plus célèbre, Le Cid de Corneille, en 1645.
Trame dramatique. Intrigue, entrelacement des péripéties dont le système peut être mis à jour par l'élaboration d'un modèle actantiel.
Tranche de vie. Objectif du théâtre réaliste, selon lequel une pièce doit être jouée comme un événement quotidien, sans distanciation, sans stylisation. Voir Quatrième mur.
Transdisciplinaire. Mise en œuvre d'une axiomatique commune à un ensemble de disciplines (ex. : l'anthropologie considérée comme la science de l'homme et de ses œuvres.
Trope. Figure, dans un segment de discours - artistique ou littéraire - , par laquelle on renvoit à un sens qui n'est pas habituel, qu'il soit indiqué ailleurs ou pas dans le discours en question. Molinié, p. 329.
Troupe de théâtre.  Groupe de comédiennes et comédiens réunis de façon relativement artisanale autour de projets de représentation.  La troupe est le plus souvent solidaire et parfois entretenue par un mécène, une communauté, une famille. Voir : Compagnie de théâtre.
Trugédie. Chez les Grecs : comédie truculente, « vineuse », comme au temps des vendanges. Du grec trugoïdia [τρυγωιδια], « chant de la ie », mot formé de trux [τρυξ], lie, ou marc, et oïdê [ωιδη], ode, chant, fable.
[url=]Type[/url]. Personnage représentant de façon exemplaire les traits d'un caractère (comme L'Avare de Molière, Le Menteur de Corneille), les traits caricaturaux d'un métier (Les Plaideurs de Racine, Le Médecin malgré lui de Molière), ou encore les avatars de figures de l'imagination populaire (clown, diable, fou), particulièrement ceux de la commedia dell'arte, avec leurs retours de situation, leur gestuelle et leur costume propres (Arlequin, Pantalon). Voir Caractère.
[url=]Typé[/url]. Qui réunit à un haut degré les caractéristiques d'un type. Chez Molière, Harpagon dans L'Avare, est typé. Marivaux, qui a commencé à la Comédie-Italienne, destinait originellement certains rôles à Arlequin, mais on les joue rarement typés à ce point.
2009-1-14 22:51:14

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U
Unité d'action. Caractère d'une pièce dont la matière narrative s'organise autour d'une fable principale à laquelle les intrigues annexes sont logiquement rattachées. Les romantiques ont maintenu la nécessité classique de l'unité d'action. Pavis 1987, p. 431-432. Voir Mansion.
[url=]Unité de lieu[/url]. Caractère d'une pièce qui, suite à une mise en question des mansions présentées en parallèle sur les praticables médiévaux, se déroule dans un seul espace scénique. Les romantiques ont mis en question cette règle de la Renaissance, mais elle est quand même souvent respectée (ex. : C'était avant la guerre à l'Anse-à-Gilles, de Marie Laberge).
Unité de temps. Caractère d'une pièce dont l'action dramatique se déroule sur une durée ne dépassant pas celle de la représentation, ou celle d'une révolution du soleil. Les romantiques ont également mis en question la nécessité classique de l'unité de temps, mais elle est, elle aussi, souvent respectée (ex. : Les Reines, de Normand Chaurette).
2009-1-14 22:52:00

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V
Variétés. Spectacle présentant diverses attractions (chansons, danses, etc). Larousse 1995.
Vaudeville. Comédie de chansons, acrobaties, danses et monologues, dont on fait remonter l'histoire à un recueil de chants populaires, les Vaux-de-Vire de Jean Le Houx (1576). Souvent chargé d'incidents burlesques, de quiproquos, de reconnaissances, etc. Bouchard 1878, p. 290-291; Ubersfeld 1996, p. 87.
Verset. Vers libre inspiré de la traduction littérale des chants et de la segmentation des proses de la Bible.  Il est généralement divisé en fonction d’une image centrale, d’une unité de sens ou d’une pause de la voix plutôt que d’une mesure fixe.  Forme fréquente dans les textes de jeu choral et reprise notamment dans le théâtre de Paul Claudel.
Vert. On connaît mal l'origine du malaise des comédiens à jouer dans un décor où le vert est dominant. On peut évoquer le vert-de-gris mortel dont s'enduisaient les personnages infernaux ou  l'habit vert que portait Molière à son décès sur scène et qu'on aurait retiré des costumiers, etc.  Mais comme au XVIIe s. l'intérieur des théâtres français était vert, c'était peut-être assez pour l'exclure après la Révolution. C'est le rouge grenat qui remplaça le vert et même le bleu utilisé au XVIIIe s. Voir Pierron 2002, p.598 .
Virtuel. Se dit d'une image dont les points se trouvent sur le prolongement des rayons lumineux (1858), de la simulation d'un espace réel par des images de synthèse, d'une création qui n'a d'autre réalité que sur écran cathodique. Larousse 1995.
Vraisemblance. Caractère par lequel les actions, les personnages et les lieux représentés sont perçus par le public comme une imitation de la réalité et non comme une réalité vraie ou surnaturelle. Degré d'atteinte de cette imitation.
2009-1-14 22:52:52

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W
Weltanschauung. De l’allemand : « vision du monde » : regard universel, conception de la vie  qu’un dramaturge ou un metteur en scène peuvent traduire au travers d’une ou de plusieurs œuvres.  Sens proche de l’origine des mots théâtre et théorie. Voir : Théâtre et Théorie.
2009-1-14 22:53:18

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X
Xylographie. Impression au moyen de planches de bois gravé. Outre les frontispices, une édition de Térence à Lyon (1493), comprend 9 illustrations en bois gravé <http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/btv1b2200023b>; une de Térence à Venise (1545) en comprend 149. <http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/btv1b22000396>. Voir: Frontispice et Planche.
2009-1-14 22:54:04

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Y
Ysopet.  Recueil de fables. Le terme désigne plutôt les écrits de fabulistes, tel Ésope, dont il tire son nom. Voir : Fable.
2009-1-14 22:54:34

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Z
Zéamien. Propre aux théories de Zéami, homme de théâtre japonais du XVe siècle, à qui on doit des ouvrages sur le nô et sur la formation de l’acteur. Il a ptoposé la formule « peau, chair et os » pour désigner les niveaux de perception (œil, oreille, esprit).
2009-1-14 22:55:27

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Bibliographie:

ANGENOT, Marc. 1979 [1972]. Le Glossaire pratique de la critique, 2e éd., La Salle, Hurtubise HMH, 223 p.

BANHAM, Martin, éd. 1988. The Cambridge Guide to World Theatre, Cambridge / New York / New Rochelle / Melbourne / Sidney, C.U.P., 1104 p., ill.

BENSON, Eugene, et Leonard W. CONOLLY, éd. 1989. The Oxford Companion to Canadian Theatre, Toronto, Oxford U.P., 662 p., ill.

BORDMAN, Gerald. 1987. The Concise Oxford Companion to American Theatre, New York/Oxford, Oxford U.P., 451 p.

BOUCHARD, Alfred. 1982 [1878]. La Langue théâtrale. Vocabulaire [...] des termes et des choses de théâtre, Genève, Slatkine, « Ressources », nº 141, 387 p.

BOURASSA, André G. 1968. « Le Livre de Christophe-Colomb », un essai de théâtre total comme représentation de l'univers claudélien, Montréal, Librairie de l'Université de Montréal, 1968, xviii-182 p.

CORVIN, Michel, dir. 1991. Dictionnaire encyclopédique du théâtre, Paris, Bordas, 940 p., ill.

DAVID, Gilbert, et Bernard LAVOIE. 1995. ETH1303. Dramaturgie I : Exercices d'analyse dramaturgique, notes de cours et indications bibliographiques, Montréal, Coop UQAM, vol. II, 177 p.

HALPENNY, Frances, et Jean HAMELIN. 1966. Dictionnaire biographique du Canada, Québec, Presses de l'Université Laval, 12 vol.

KALLMANN, Helmut, et Gilles POTVIN. 1993. Encyclopédie de la musique au Canada, 2e éd. revue et augmentée, Montréal, Fides, 3 v., ill.

LIDDLE, Henry G., and Robert SCOTT, Lexicon. Abridged from Greek-English Lexicon, Londres, Oxford U. P., 1963 .

MAINGUENEAU, Dominique. 1996. Les Termes clés de l'analyse du discours, Paris, Seuil, 94 p.

MAUSS, Marcel. « Une catégorie de l’esprit humain : la notion de personne celle de “moi” » [1938], in Sociologie et Anthropologie, Paris, PUF, « Sociologie d’aujourd’hui », 19773.

MOLINIÉ, Georges. 1992. Dictionnaire de rhétorique, Paris, Librairie générale française, « Livre de poche », nº 8074, 351 p.

PACQUIN, Louis-Claude. « Stratégies de dramatisation », <http://multimedia.uqam.ca/profs/lcp/dramat/dramat.html>.

PAVIS, Patrice. 1987 [1980]. Dictionnaire du théâtre, 2e éd., Paris, Messidor/Éd. sociales, 1987, 477 p.

PIERRON, Agnès. Dictionnaire de la langue du théâtre, Mots et mœurs du théâtre, Paris, Robert, 2002, 622 p.

SCARPI, Paolo, dir. Le Religioni dei misteri. Milan, L. Valla - Mondadori, 2002, 2 vol.

UBERSFELD, Anne. 1996. Les Termes clés de l'analyse du théâtre, Paris, Seuil, 93 p.


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Notes:

1 (Pubère)
En grec, parler avec une voix qui mue, incertaine, se dit tragizô [τραγιζω], chevroter.
2009-1-14 22:57:03

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