- Groupe A voir liste[size=+2]
groupes ou établissements dont l'offre est centrée sur une formation traditionnelle en 3 ans avec sélection sur préparatoires (ou à cycle intégré)
voir fiche- Sous-groupe A1
16 groupes ou établissements proposant des formations spécialisées de troisième cycle et un ou plusieurs MBA au standard international - Sous-groupe A2
10 groupes ou établissements proposant des formations de spécialisation (3ème cycle, mastère spécialisé, DESS ou autre) - Sous-groupe A3
15 groupes ou établissements ne proposant pas des formations de spécialisation (3ème cycle, mastère spécialisé, DESS ou autre) de manière significative - Sous-groupe A4
Ecoles ne bénéficiant pas de diplômes visés (uniquement homologation)
- Groupe B voir liste[size=+2]
10 groupes ou établissements dont l'offre est centrée sur une formation traditionnelle en 4 années intégrées: voir fiche- Sous-Groupe B1
Etablissements dont le programme principal en 4 années est partagé France-Etranger - Sous-Groupe B2
Etablissements dont le programme principal en 4 ans est réalisé en France pour l'essentiel
- Groupe C voir liste[size=+2]
Etablissements dont l'offre est centrée sur une formation traditionnelle en 3 ans à partir du bac voir fiche
|  Le positionnement général des écoles de gestion On peut distinguer dans l'appareil français de formation à la gestion, l'offre proposée par des établissements universitaires (IAE, UFR variés,..;) préparant pour l'essentiel aux diplômes nationaux (DUT, Maîtrise, DESS), et une offre "école" centrée sur des diplômes d'établissement, bénéficiant de reconnaissances variables.
Cette offre correspond pour une large majorité à des établissements de statut privé ou consulaire ( y compris la situation d'établissements de statut privé adossés à des CCI). Mais on y trouve également quelques établissements publics ou rattachés à des universités, comme l'ICN de Nancy ou l'ISCID de Dunkerque.
En tant que tels, les établissements privés ou consulaires sont soumis à la législation sur l'enseignement privé et susceptibles de bénéficier à ce titre d'une reconnaissance par l'Etat ou de diplômes visés par l'Etat. Leur principale spécificité est de se battre sous leurs noms, nom de l'établissement ou nom du diplôme, en cherchant à y associer des signes externes de reconnaissance ( accréditation, appartenance à des réseaux), par contraste avec les formations publiques qui proposent pour l'essentiel des filières conduisant aux diplômes nationaux. |
 Une typologie des écolesIl existe une très grande variété d'écoles de Commerce et de management, de structures et de niveaux différents, qui dispensent des formations encore plus variées. Les tableaux qui suivent ont été établi fin de faciliter l'identification des établissements, sur la base de regroupements "naturels" en fonction:
- de la largeur de l'offre (existence de spécialisations, MBA à vocation internationale)
- du niveau de l'offre (sortie à bac+5, à bac+4 ou bac+3)
- de la nature de l'offre (filières internationales, formations généralistes traditionnelles)
Ces regroupements sont rendus difficiles par la confusion entretenue entre les établissements (le support) et les programes (le produit). On doit ainsi bien distinguer l'exercice de mise en ordre des ESC (formations longues à bac+5) et celui qui nous occupe ici de mise en ordre des établissements. Il faut néanmoins admettre que l'élément majeur de différenciation des établissements reste leur offre la plus traditionnelle
(1) formation en trois ans sur recrutement ) bac+2 par concours | (2) formation en cinq ans sur recrutement bac | (3) formation en quatre ans à recrutement bac | (4)formation en trois ans sur recrutement bac | Un même établissement pourra proposer des formations de type (1) et de type (3) comme le complexe de Reims (Reims management school), et développer avec succès des formations de type MBA ou spécialisation plus traditionnelles.
Outre l'offre principale , ont été pris en compte l'existence d'une offre de spécialisation ou verte à des candidats extérieurs ( Mastères sépécialisés, DESS, spécialisations) en faisant un sort particulier à l'existence d'un MBA ouvert à l'extérieur (non limité aux étudiants des cycles traditionnels), impliquant un choix stratégique d'être reconnu au plan international. Cette approche pose potentiellement problème, dès lors que l'organisation des MBA ets totalement libre et que la dénomination peut être, sinon usurpée, au moins utilisée de manière souple. Les tableaux établis dépassent en fait cette objection en coïncidant assez bien avec une hiérarchie des potentiels, appréciées au travaers des effectifs d'enseigants permanents.
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