回复: 【原创】【教学】(连载)考试将至,UT1 _L3 MONNAIE ET FIANNCE 笔记
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Tout d’abord , le concept d’écart de production s’est révélé vague et les estimations disponible sont très diverses. On a des méthodes habituelles de lissage utilisée pour estimer l’excédent de la production observée p/r aux capacités de production sont notoirement entachées d’erreurs de mesure en temps réel et souffrent de l ’absence de fondement théorique. Alors parfois ,on utilise les méthodes économiques pour construire des mesures du niveau « naturel » de la production auquel les tensions sur les prix sont supposées inexistantes reposent également sur des hypothèse discutable.
y – y* :y* peut mesurer d’après la fonction de réaction.
Le taux d’in d’équilibre : il faudrait avoir un indice composé d’une gamme étendue de conditions financières sous-jacentes,dont la réalisation est considérée comme compatible avec la stabilité des prix. Toutefois, en l ’absence d’un modèle fiable et incontestable permettant de juger l’évaluation effective des actifs p/r à leurs « fondamentaux » et d’expliquer les mécanismes économiques liant les prix fondamentaux des actifs au niveau naturel de l’activité, toute quantification de ce concept d’équilibre peur se réduire à un exercice de divination.
Ce qu’ajoute de BCE , c’est que les règele de Taylor .Dans ce cas ,suggérerait qu’il y a 2 objectifs distincts.Un sur les prix ,l’autre sur le PIB .C’est incompatible avec l’inflation d’un objectif principal de la stablité des prix.
(page 73) Cet observation a été faite, il y a 5 ans. C’est réaffirmé tout récemment dans le document 11/2006. notamment dans la partie Page 73. Il y
Deuxième partie : Comment atteindre l’objectif fianl de stabilité des prix ? Aspects théoriques et empiriques Chapitre 1 Le rôle de la monnaie § 1 La « quantité »de monnaie comme objectif intermédiaire ou indicateur de la politique monétaire 1° L’équation quantitative, fondement des politiques des banques centrales ?
Fisher MV = PT
M : agrégat ou masse monétaire
V : vitesse de circulation
P : un ‘ niveau général’ de prix
T : nbre de transaction
On utilise pas directement, on calcule le taux de croissement. Le taux de croissement : △M /M + △V/V ≈ △P/P + △T/T. Concrètement, on prendra au lieu de le T , et donc △T/T, le PIB c à d on va prendre △Y/Y.
T ne peut pas être mesuré. Si on veut passer au concret stastiquement ,on ne sait pas faire. L’agrégat transaction n’est pas connu car il est trop vaste : on a pu parfois faire des enquêtes auprès de banques , la valeur des transactions des clients se lie dans les comptes. On utilise le PIB plustôt que les transactions,parceque le nbre de transactions ne peut pas mesurer le PIB,c’est la somme rajoutée sur l’année par construction. La différence c’est qu’on exclu les conso intermédiaires (leur dépense), les transactions sur des biens importés, sur des biens qui datent de plus d’un an. On exclu aussi les transactions fiancières.
PIB + IMP = C° + FBCF (formation brut de K fixe)+ △STOCKS + EXP
‘ ressources’ ‘emplois’
Les BC utilisent cette équation
△M /M + △V/V ≈ △P/P + △Y/Y
△M /M : résultat
△V/V : estimation
△P/P : l’objectif final (principal)
△T/T : prévision stat
Selon les cas △M /M sera un objectif intermediaire (banque de FR avant 1999 ou bien des Réserve Fédérale Américaine début des année 90) ou bien dans la simple valeur de la référence comme le cas actuel de la BCE. Cette valeur de définition étant un indicateur, le membre de droit de l’équation peut être chiffré puisque normalment, on a un objectif sur l’inflation et mesure des anticipation des prévision sur le PIB. Par ex on aura un total 4,5% (2+2,5). Mais △M /M est une résultante que l’on cherche. On voit que tout va dépendre de l’estimation que l’on fait sur la variation de la vitesse. C’est ici qu’entre en jeux l’analyse de la fonction de la dde de monnaie.
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△M /M + △V/V ≈ △P/P + △Y/Y
Problème : quel agrégat pour M ?
Autre problème V ?
Dans la zone euro, le choix de l’agrégat monétaire M3 qui est un agrégat large contenant des élément rémunérés par des intérèts. Ce choix repose sur l’idée que plus un agrégat est large , mais les substitution entre actif dans les placement des agents sont apparents.
3 catégorie des institution :
1er les BC qui emettent de la monnaie.
2em les établissement de crédit au sens résidents :
les entreprises dans l’activité consiste à recevoir du public des dêpot ou l’autre fond remboursable à consentir des crédits pour compte propre.
Il y a pour la France ,une définition plus précise, ce sont des établissement dont l’activité principale consiste en opérations de Bq, les opération de bq sont la reception et la gestion de fond du public , le crédit (loi bancaire 1984 reprise dans Code Monétaire et Financier CMF). 3°la gestion de moyen de paiement (note : le public=tout le monde ≠ le secteur public). Ces etablissement fond du crédit mettent de la monnaie.
3em catégorie : les OPCVM ( organism placement collectivité en valeur mobilière). Ca fonctionne en collectant des fond monétaires. Rôle : gestion de fond /action à la place de leur client.
SICAV montétaire
A P
Titres achetés sur le Acteur de SICAV détenues
Marché monétaire par les agents NF et autres
C’est la gestion collective.
Qu’est –ce que caractérise
Les éléments d’un agrégat monétaire. C’est bien leur liquidités. Donc ces éléments doivent répondre au critère suivant .On l’appele la transférabilité. C’est la possibilité de mobilier des fonds placés dans un instrument financier en ayant recours a des moyens de paiement. (chèque, avis, prélèvement, etc)
La convertibilité est la possiblité de convertir, un instrument financier en numéraire ou en dépôt ,il y a parfois un coût ,on se refère aussi à l’ansence de rique majoraire. C’est losque on connais précisement à l’avance. La valeur liquiditative d’un instrument financier en monnaie national .Ici, il y a des possibilité de nuancer. Enfin, la négociabilité se refère aux valeurs mobilièrs à côté et faisant l’objet transaction régulière sur un marché organisé. Ces différents critères sont des attributs de liquidité monétaire financier.
Par exemple : les actions et obligations traditionnells à CT ne font jamais une partie des agrégats. Car il y a un risque de la valeur du marché . Dans la zone euro, on définit dans les 1er agrégats, on l’appel M 1, càd l’agrégat de moyen de paiement habituelle( la plus liquide) en suite on a 2 autres dépôts.
Monnaie financière
M 1
Dépôt à vue BC+EC
+ Dépôt à terme ≦ 2 ans
Dépôt rembouresable avec un M 2
préavis (il y a aucun risque de EC
perdre de la capitale) ≦3 mois
autofois ‘quasi-linéaire’
+ Titres d’OPCVM
Titres créance ≦ 2 ans (EC)
(du marché monétaire) M 3
Certificat de dépôt
A propos du risque, il s’agit du risque de perte en capitale lié à la fluxtuation des cours. On tiens pas du compte du risque d’inflation. Parceque, le risque d’inflation touche tous les instruments financier par la définition de monnaie au passif de ces établissement et se trouve à l’actif des l’agent NF .
On préfère un agrégat large ? Parceque il peut y avoir des mouvement des substitution entre les différents composantes du portefeuilles des agents économiques.
Quand on choisit un agrégat large, on se prémunit en principe contre les variations de la dde de monnaie .Càd une fonction de dde de monnaie pour un agrégat large est en pricncipe plus stable, c’est dont on a besoin de la BC.( voir plus loin). Si chaque unité monétaire ne servait que une fois, le montant d’agrégat monétaire serait égale au montant de transaction qu’il finance. Quand il s’agit de moyen de paiement , la vitesse de circulation est plus élevé. Ex, de l’ordre 3. Pour un agrégat large elle est proche de 1.
MV = PY
PY : la valeur du PIB
V=PY /Md → Md = PY/V
C’est une identité. Mais chez Fisher, il y avait une théorie, disait si M double ,les prix doublent aussi. Càd la vitesse est une constant.
Le chiffrage pour BCE .plus précisement le chiffrage de la valeur de référence pour M 3 .La crossiance monétaire ,hyp à MT ---la progression annuel de prix < 2%. P/△P --- la croissance tendentiel du PIB .Y/△Y --- est l’ordre de 2% à 2,5%.---le relantissement de vitesse de la circulation de monétaire △V/V compris entre–0,5% à -1% par an. Le résultat ,c’est chiffrage de 4,5% (△M/M) par an en moyen (moyen terme de 5 ans). Ce chiffrage simple mais il y a des études économétrique plus profondit sur la dde de monnaie dans la zone euro. Actuellement , la croissance de la masse monétaire M 3 de l’ordre 8,5%.
26/02 2) le problème de la stablité de la vitesse de circulation de la monnaie
Les bq centrales ont besoin d’une vitesse de circulation stable(d’une fonction de dde de monnaie stable) prévisible pour pouvoir utiliser l’équation inopiré de l’indentité de Fisher. C’est le taux d’int a un rôle perturbateur de ces fonction. Chez les classique et néoclassique, autre kéynesiens, c’est le revenu qui est la variable explicative de la dde de monnaie. Comme keynes qui a instroduit le taux d’int dans cette fonction. Keynes n’ignerait pas la vitesse de circulation de la monnaie mais il introduit d’autre motif que le motif principale. Chez les classique, càd la transaction.
Doc « motifs psychologique et commerciaux de la liquidité » p 212 4°
Commentaire :
Keynes rappelle d’abord qu’il existe une relation entre la dde de monnaie pour les motifs de transaction et précaution et le niveau de l ’action économique plus précisement du revenu.
Il souligne que ce sont les variations du taux d’int qui interviennent pour le motif de spéculation. Il parle de relation continue. C’est ce que l’on a traduit ensuite par le graphique qui montre une courbe négatif et continue. Il insiste sur la relation entre le taux d’int et le cours des obligations. Il s’agit du marché de LT. Comme la relation inverse. Mais keynes dit également que toutes les écheances sont concernés. Les paragraphes suivant est consacré à une déscription du marché monétaire.
Page 215 _Ⅱ
Keynes n’emploie pas la terminologie moderne de fonction additive, mais parle de 2 catégories d’avoir liquide indépendantes l’une de l’autre :M = M1 + M2 = L1(R)+L2(r)
Page 217 (2°)
Keynes considère d’abord L1(R) et il emploie la terminologie vitesse de transformation de la monnaie en revenu.
Selon Keynes, on peut considerer V comme constant.
Page 218
La baisse diminue la mesure d’un montant qui est le carré.
Ce qui est essentiel dans ce texte, c’est ‘un taux d’int à LT de 2% laisse plus à craindre qu’à espérer et procure un revenu courant qui ne suffit à compenser qu’en faible degré de crainte’. La crainte en question est le risque de perte au capital. Voir plus haut ‘risque de perte au capital’
Si le taux est faible, il y a plus de risque de monter les taux que de baisse des taux .Et si le taux est faible, on va garder des liquidités plutôt que de les placer. A la limite on a une ‘trappe’ à liquidité.
En revanche si le taux est plus élevé, (4%) , on peut avoir une montée des taux mais on aura plus de chance d’avoir une baisse ‘bilan de prababilité’ pour expliquer les anticipations. Si le taux est élevé , on va acheter des titres implicitement .Keynes se refère à des obligations de durée très longue qui rapporte un coupon de 1. La valeur fondamentale de ce type d ’obligation est 1/r. Keynes parle de la diminution de la valeur : d v /d r = - 1/ r2 .Ici v = valeur fondamentale.
Page 220 _Ⅲ
On voit que l’addition d’une quantité de monnaie détenue qui depend du taux d’int. Risque de générer une instabilité dans la relation qui utilise la bq centrale.
Par la suite on a parlé du côut d’opportunité de detention de la monnaie.Nous venons de voir chez Keynes ce qui est essentiel : placer ou garder des liquidités. Nous verrons qu’on peut mener une reffection sur cette notion. Il s’agira toujours d’un taux d’int qui peut être de LT chez Keynes sur les obligations a un taux plus composite.
On va voir la fonction de dde de monnaie () au taux d’int portefeuille
-- espère (liquidité) actif monétaire
-- titre obligatoire
Modèle de portefeuille :relation entre le rendement de portefeuille et
En introduction : Topine s’intérèsse au partage entre actif monétarie appelle ‘Espece’ et titre obligation on l’apelle ‘consolidés’. De ce partage, on tire 1 fonction de dde de monnaie. Tobin insiste sur l’incertitude (voir texte), et on étudie la dde de monnaie et de titre à partie de l’espérance de rdt de portefeuille et du risque concernant ce rdt. Comme 1 variété de moderne de portefeuille :‘Espérance et la variance’.
g : Esperance mathématique du rdt de
Variance (écart-type) portefeuille
↓
σ R
Doc texte J.Tobine
R = A2 (r + g) R = A1* 0 +A 2 (r +g)
Hyp :E(g) = 0 optime de cbe qui correspond
σ g connu la tengence plus de risque, plus de rendement (la cbe croissante)
μR ↑
T1
A2
R= A 2 (r+ g)
E(R) = A 2 (E(r) +E(g))
= r A 2 +0
ε2 (R) = E( R-E(R))2
variance =E(A 2 ( r +g) - A 2 r ) 2 ε2 (R) =A 22 σ g 2
=E(A 2 g) 2 σ(R) = A 2 σ g
E(R) = A 2r
ε2 (R)= A 22 E(g) 2
= A 22 E(g – E(g)) 2
= A 22 σ R 2
≠ lieu d’opportunité
Préférence = moderne ne donne pas , on travaille sur la courbe de préférence donné
Courbe d’indifférence qui sont représentés ici, indique un risque plus important doit être compenser pour donner le même utilité par 1 rdt plus important. Comme donc 1 relation croissante. Lorsque on a 2 biens substituable, la relation est décroissante, parceque on a plus de tengence comme d’habitude entre le lieu d’opportunité es la courbe d ‘indifférence, la plus élevée possible.
On peut déduire àA 2 et à A 2 de ce calcul on sait que A 1 =1 - A 2 , on a ici, A 1 que l’on s’intéresse en proprité, il s’agit de detention de l’actif monétaire .Le calcul A donne.
Graphiquement ,on peut reperer A 2 , ce point 1 dans 4ans. En effets on a 1 relation entre σ R et σ g , on le trouve A 2 . Essentiel ,but final est de trouver par étudier l’effet d’1 variation de taux d’int(r) sur la dde de monnaie. Losque le taux d’int r augment , la pente de demi-droit du type OC1 augment. Tous va dépendre de la carte de courbe d’indifférece.
,
01/03 ------ Réformulation de la théorie quantitative.
(voir document)
Formule Page 4 équation 7
rb : taux des ‘bonds’ obligations
re : taux des ‘équités’ actions
dp/pdt : variation de valeur des biens physiques (capital physique)
Ce qui est important est la stablité de la fonction de la dde de monnaie. La vitesse de la circulation n’est pas besoin d’être cst, mais qu’il faut qu’elle soit très prévisible ----- Le consensus contemporain sur la fonction de demande de monnaie
Md / p = f (y/p , i)
i : modèle 1 , taux d’int à LT
Commentaire de l’encadre 1 :
Dans le modèle 2, ∏ est un côut d’opportunité. Dans la mesure au lieu de détention de la monnaie, on peut préférer achéter des biens qunad le prix augmente, s’il y a une inflation. En ce sens garder donc la monnaie, c’est perdre d’opportunité d’une valorisation qui peut concerner un bien durable. On voit que dans l’équation le coéfficient concernant ∏ est effectivement négatif dans le modèle 2.
LT – CT la différence entre le taux de référence de LT et CT. En effet dans l’agrégat large M3, on a des actifs rémunérés, ce sont des actifs monétaire par définiton. Leur taux de référence sont en principe des taux de CT, Le taux de référence de CT est pas du tout un côut d’opportunité. C’est une rémunération . Si on l’introdusait dans une fonction générale, il faudrait mettre une signe de plus . On va trouver sur une différece.
L’autre remarque :les taux d’int ne sont pas exprimé ln donc les coefficient des modèles concernant les semi-élasticité.