Moi aussi ,suis élue !! Un prophète m'a dit sur Facebook il y a 1an,Un pasteur vient me confirmer hier ,Share
Thursday, May 27, 2010 at 1:53am | Edit Note | Delete
Diaspora : De Kaifeng au kibboutz… Qui sont les juifs chinois -Tribu perdue ?
Un prophète m'a dit sur Facebook il y a 1an,Un pasteur vient me confirmer hier ,
Moi aussi , suis élue !
je suis parti chercher tous les ressources en chinois et en français , ben , c'est VRAI.
pourquoi , j'ai pas cru il existe de prophète ??
Miracles arise from a mind that is ready for them , Are you available for miracles ?
一个没有需要的人永远见不到神迹。
Pour la première fois depuis la création de l’Etat d’Israël, un groupe de sept descendants de la communauté juive de Kaifeng en Chine a immigré en Israël. Les nouveaux venus, qui ont été amenés par l’organisation Shavei Israël, sont arrivés à l’aéroport Ben Gourion mardi soir.
Leur ville d’origine, Kaifeng, se trouve sur le rivage du fleuve jaune (Huang He). Kaifeng a abrité une communauté juive florissante pendant près de mille ans.
« Je suis très ému d’être ici en Terre sainte », a déclaré Yaakov Wang, l’un des nouveaux venus chinois. Et d’ajouter : « Mes ancêtres en rêvaient depuis des générations et j’ai finalement réussi à réaliser ce vœu grâce à D.ieu. »
Wang a indiqué qu’il espérait devenir rabbin afin de pourvoir aider les autres descendants des Juifs de Kaifeng à en apprendre plus sur leur héritage.
« Le ministère de l’Intérieur nous a octroyé des permis spéciaux pour les faire venir pendant un an avec des visas de touristes, période pendant laquelle ils suivront un processus de conversion. Une fois convertis, ils recevront la nationalité israélienne et seront considérés comme de nouveaux Olim », explique le président de Shavei Israël Michaël Freund. Et d’ajouter : « Le groupe séjournera au kibboutz Sdé Eliyahou, près de Beth Shéan, pour suivre un oulpan d’hébreu. »
De l’aéroport, le groupe s’est rendu directement au Mur occidental à Jérusalem, où ils sont récité la bénédiction « Shéhé’héyanou » et chanté des chansons hébraïques traditionnelles.
« Il nous a fallu plus de deux ans pour obtenir le visa nécessaire, mais cela valait la peine d’attendre », a déclaré Freund. Et d’ajouter : « Il s’agit d’un événement historique. Les descendants des Juifs de Kaifeng sont un lien vivant entre la Chine et le peuple juif et c’est très émouvant de voir les derniers éléments de cette communauté retourner à leurs racines. »
A son apogée, pendant le Moyen Age, la communauté juive de Kaifeng comptait environ 5 000 personnes. Mais l’assimilation et la mort du dernier rabbin de la communauté firent peu à peu disparaître la communauté au milieu du 19e siècle.
Les experts estiment qu’il reste quelques centaines de personnes à Kaifeng qui se raccrochent à leur identité de descendants de la communauté juive de la ville. Ces dernières années, un nombre croissant d’entre eux a commencé à exprimer un certain intérêt pour l’étude de l’histoire et la culture juives.
Basé à Jérusalem, Shavei Israel cherche les « Juifs perdus » à retrouver leurs racines.
par Yael Ancri
http://www.actu.co.il/
Famille de Juifs chinois de Kaifeng
Une communauté juive de 300 familles vécue à Kaifeng, à l'est de Zhengzhou. Ce serait la plus ancienne communauté juive de Chine, puisqu'elle se serait installée bien avant leurs successeurs, sous le règne de l'empereur Mingdi (55-75), comme l'attestent des stèles retrouvées sur place.
En effet, la plupart des marchands juifs arrivèrent en Chine au VIIIème siècle par la Route de la Soie.
La synagogue de Kaifeng fut fondée en 1163 et la communauté vécue de nombreux siècles dans l'isolement.
Les européens apprirent l'existence de cette communauté par le biais du moine Matteo Ricci qui reçut à Pékin Ai Tian, le chef de cette communauté à l'époque.
Les juifs chinois reçurent par la suite sept surnoms officiels par décret impérial sous les Mingdi (Ai, Jin, Gao, Li, Shi, Zhang et Zhao).
PS . une version traduction des annales chinois par vivien zhao
Il ya 1000 ans, leurs ancêtres sont venus d'Israël à travers la Route de la Soie, la capitale de Kaifeng, la dynastie Song . Apres une réunion avec la cour royale de Chine pour l'engagement des principes « Intégrer dans L'empire du Milieu , Résider à gauche Bianliang (ville de Kaifeng )" , ces Juifs , tribus disparu mystérieux ont décidé de s' y installer. Au début ; ils sont 17 grande famille, surtout une famille bien honorée par l'empereur de Song , cette famille est gratifié en nommant ZHAO , le même nom avec l'empereur ZHAO; en plus le ministre est un de cette famille élue aussi par l'empereur chinois ;
ZHAO 赵 = premier nom chinois parmi tous les noms de famille , Nom de l'empereur de l'epoque SONG,
les autres familles comme
SHI 石 = caillot ou rock ou pierre une traduction significatif de l'hebreu ,
GAO 高 =le haut ; traduit de l;hebreu
Zhang 张= tirer l'arc , chasseur ,
Jin 金= l'or
traduction phonetique :
Li 李 = Lévi
d'autres noms sont juifs, d'après la traduction originale, tels que Lee, est une translittération de Lévi, et de la pierre et l'or, est la paraphrase des noms de famille juive.Actuellement,
Le dernier rabbin mourrut vers 1800 et en 1904 on comptait encore une centaine de personnes d'origine juive. La synagogue fut détruite vers 1850, lors d'une des nombreuses inondations que la ville ai subit.
Juifs de Chine, vers le début duxxe siècle.
http://www.chine-informations.com/guide/juifs-chinois-de-kaifeng_2769.html
Le Saviez-vous ?
Refuge pour Juifs à Shanghai
En 1937 près de 20 000 Juifs allemands et autrichiens, fuyant la montée du nazisme, trouvèrent refuge à Shanghai. Ils furent rejoint dès 1939 par près de 4 000 autres réfugiés Juifs venant de Russie, Lithuanie et Pologne.
Des associations d'entraides américaines ainsi que de grande familles Juives Shanghaiennes, comme les Sassoon, aidèrent ces gens en offrant des repas ou en proposant du travail. Mais malgré ces aides, les conditions de vies étaient difficiles en raison notamment du manque de logements.
En février 1942, alors que Shanghai est sous occupation japonaise, Shibota, le vice-consul du japon, alerte secrètement la communauté juive qu'un projet de création d'un ghetto sur une île de Yangzi était à l'étude.
Un accord fut trouvé entre les représentants de la communauté Juive et Tokyo pour maintenir ce ghetto à Shanghai, et en février 1943, les japonais à la demande des allemands, délimitèrent un secteur de 2,5km2 dans le quartier de Hongkou, réservé aux juifs apatrides.
A la fin de la guerre, les réfugiés repartirent pour les Etats-Unis ou l'Australie et découvrirent l'horreur à laquelle ils avaient echappés.
TRIBUS PERDUES ET RETROUVEES
LES JUIFS DE KAIFENG
Premières traces connues
On a découvert deux fragments de documents attestant une présence juive en Chine dès le 8ème siècle. Ils ont été découverts à Khotan en 1901 dans le Turkestan chinois, aujourd'hui appelé la province occidentale du Sinkiang: un document commercial perse en script hébreu datant de 718, et un document plié contenant le texte d'une prière en hébreu carré.
Les visiteurs Juifs de la Chine sont venus soit par la voie de terre venant de Babylonie ou de Perse, en suivant "la route de la soie", soit par voie maritime à partir de Basra, en suivant la voie des envahisseurs musulmans; empruntée également par les pirates, cette route aboutit soit à Canton, soit à Zaytoun (Quangzhou), Hangzhou et Ningpo, sans doute dès le septième siècle.
On a la trace d'une rébellion à Canton en 878/9 où 120 000 étrangers auraient été massacrés, notamment des Musulmans et des Juifs.
Nous avons la trace de stèles à Bien Lang (Kaifeng) témoins d'une présence permanente de Juifs dans cette ville, du moins depuis la construction d'une synagogue (1163) jusqu'à sa disparition (1850/66).
Plus tard, à l'époque de l'invasion mongole de Kublai Khan au 13ème siècle, nous avons les témoignages de voyageurs tels que Marco Polo ou Jacob d'Ancône rapportant la présence de communautés juives importantes aussi bien à l'intérieur de la Chine que dans les ports côtiers. Mais il semblerait que ces communautés aient disparu soit par assimilation, soit par conversion à l'Islam. On a la trace de 3 décrets chinois, l'un datant de 1329, taxant ceux qui pratiquaient une religion monothéiste (juifs, chrétiens et musulmans), un autre de 1340, interdisant le lévirat, considéré comme une abomination et un dernier de 1354, appelant Juifs et Musulmans à la capitale pour s'enrôler dans l'armée impériale.
Les Juifs de Kaifeng
Sous la dynastie Sung en déclin, l'empereur de Kaifeng, capitale du Hunan, invita au 9ème siècle un groupe d'un millier de Juifs perses à s'installer chez lui afin de promouvoir la filature, le tissage et la teinture du coton, devant une grande pénurie de fibres de soie.
Des inscriptions en chinois et en hébreu sur deux stèles, datant de 1489, 1512, 1663, 1669 témoignent d'une présence constante d'une communauté juive à Kaifeng et de l'édification d'une synagogue de forme originale dont des images et des maquettes existent dans de nombreux musées (Musée d'art juif à Paris, Bet Hatefoutsot à Tel Aviv…). Ces stèles se trouvent aujourd'hui au Musée municipal de Kaifeng.
La communauté juive à Kaifeng culmina sous la dynastie des Ming entre 1368 et 1644 et aurait atteint la dimension de 5000 âmes. Un empereur Ming décréta que les Juifs porteraient seulement 7 prénoms afin qu'on puisse les identifier: Ai, Gao, Jin, Li, Shi, Zhang et Zhao. Il y a lieu de noter que Shi signifie Pierre et que Jin a le sens d'Or.
D'autres attestations de la présence juive proviennent de missionnaires jésuites tels que Matteo Ricci (1605). En 1722, le missionnaire Jean Domenge note un grand degré d'assimilation des Juifs aux coutumes chinoises. La synagogue ressemblait à un Temple chinois et s'appelait "le Temple de la Pureté et de la Vérité". En 1724, l'empereur Yong Zheng ayant interdit le prosélytisme chrétien, on est resté sans contact avec cette communauté jusqu'à la fin du 18ème siècle.
L'assimilation aidant, la communauté de Kaifeng disparut avec son dernier rabbin et la destruction de sa synagogue par une inondation au milieu du 19ème siècle. Malgré qu'ils continuaient à pratiquer la circoncision et à suivre certaines règles de pureté, avec la pauvreté environnante, le Juifs de Kaifeng vendirent jusqu'à leurs rouleaux de Torah à des missionnaires protestants (1).
Aujourd'hui on croit savoir qu'il resterait entre 200/300 descendants de ces Juifs, mais qui ne se connaissent pas entre eux. Néanmoins le passage de touristes et de curieux aurait tendance à faire revivre d'une certaine manière ce groupe perdu. Ainsi, tous les visiteurs vont voir la plaque rue du Sud de "l'Ecriture qui instruit" (South Jiao Jing Lane), indiquant la présence de cette fameuse synagogue, dont une maquette est détenue par la famille Zhao Pingyu. Par ailleurs Shi Zhongyu (81ans) cherche à recenser les us et coutumes de cette communauté particulière. Shi Ley 25 ans étudie le Judaïsme et l'hébreu à l'université Bar Ilan à Ramat Gan. Certains chinois de Kaifeng commencent à se pencher sur leur généalogie…
À Pâque les Juifs de Kaifeng avaient l'habitude de tamponner le montant de la porte d'entrée avec une brosse imprégnée d'un liquide rouge, mélange de sang d'un coq immolé et d'eau. Plus tard ils ont fabriqué des gâteaux sans levain. Les offrandes de viande ne sont pas de porc contrairement à celles des autres chinois. La descendance est patrilinéaire. Ils jeûnaient quatre fois par mois….Aujourd'hui les Chinois peuvent avoir la mention "yahoudai" ou juif sur leur passeport s'ils le souhaitent.
Albert Soued - 10 mars 2003
(1) ces rouleaux se trouvent à la Bibliothèque Klau de la Hebrew Union College de Cincinnati.
Sources
Encyclopedia Judaica.
Hadassah Magazine – vol 69/1- aout-septembre 1987
Jerusalem Post du 23-11-2001
Les Cahiers du Judaïsme n°10
http://symbole.chez.com/chine.htm
TRIBUS PERDUES ET RETROUVEES
LA TRIBU CHIANG MIN
Localisation de la tribu et population
Au Nord-Ouest de la Chine dans une région montagneuse, à l'Ouest de fleuve Min, à la frontière du Tibet, dans la province du Széchouan vit un peuple à part appelé par les Chinois Chiang Min, évalué à 250 0000 personnes. Dans le passé, ce peuple s'étendait de Kansou au Nord jusqu'à Liounan au Sud.
Ayant oublié sa langue et son écriture, ce peuple parle aujourd'hui un dialecte tibétain et un dialecte chinois appelé "chlaring"
Coutumes et lois
Les Chiang Min vivent dans des villages à l'allure de véritables forteresses, sur des éminences. Malgré leur intégration au milieu ambiant, ils ont gardé néanmoins certaines traditions et coutumes ancestrales.
La tribu Chiang descendrait d'Abraham et leurs ancêtres seraient au nombre de 12.
Ils croient en un seul dieu qu'ils appellent "abachi", père du ciel (en hébreu ab-hashamayim) ou "mabishou", l'esprit du ciel. Plus tard ils l'ont appelé dieu des montagnes, la montagne étant un centre religieux pour les Chinois.
En période de danger, ils l'appellent, "yahweh", dieu tout-puissant mais compatissant, permettant le repentir et accordant le pardon.
Sous l'influence locale, ils croient dans des "esprits et des démons" qu'il est interdit néanmoins d'adorer, comme il est interdit d'adorer des statues.
Ils ont le souvenir de parchemins écrits et de livres, mais aujourd'hui ils transmettent leurs croyances et les prières oralement, prières qu'ils ne comprennent pas.
Ils font le sacrifice d'animaux en l'honneur de leur dieu. Il y a un sacrifice public réalisé sur un autel en pierres assemblées et qu'il est interdit d'exécuter avec un outil en métal. Cet autel est érigé près d'un arbre sur une colline ou une éminence. Il y a aussi un sacrifice privé fait sur un autel érigé sur la terrasse plate des maisons.
Le sacrifice est opéré par des prêtres spécialisés dont la fonction est transmise de père en fils. Le prêtre commence par se purifier, puis il porte un habit pur et blanc et un turban. On ne peut pas officier, si on n'est pas marié. Le service a lieu la nuit, à l'abri du regard chinois. Après avoir lavé la bête, le prêtre pose sa main sur la tête de celle-ci et commence à prier. Le sacrifice a lieu dans une ambiance solennelle et les participants doivent être "chiang". L'autel est entouré de douze drapeaux pour rappeler l'origine de la tribu.
Comme le sacrifice a le sens d'expiation, le sang de la bête est aspergé aux quatre coins de l'autel, symbolisant par le rituel, qu'à travers le sang du sacrifice, les péchés de chacun sont expiés.
Voici le texte d'une prière recueilli auprès de la tribu:
"Prêtre de Dieu, Tu es le prêtre des générations, témoignant que notre sacrifice est pur et conforme sans changement, opéré de la même façon que dans les temps anciens. Nous accomplissons nos vœux ainsi; nous n'avons pas mangé de nourriture impure durant trois jours et nous n'avons pas fréquenté des lieux impurs. Nous sommes rassemblés en ce lieu saint, les bouquets de plantes pour asperger le sang sont en place, nous avons amené les bêtes du sacrifice ligotées et nous rabaissons la corde près des bouquets pour l'aspersion du sang".
Après le sacrifice, les entrailles de l'animal sont brûlées avec la viande et le prêtre qui a officié reçoit l'épaule, la poitrine, les pieds et la peau. Le reste est divisé parmi les assistants.
Les Chiang Min ont deux symboles de sainteté: une feuille de papier blanc et une pierre brute blanche. Le blanc est un signe de pureté, la feuille est sans doute une réminiscence d'un parchemin écrit perdu et la pierre, celle d'une transmission nécessaire.
Il existe aussi une cérémonie d'enduction de sang d'un montant de la porte d'entrée pour protéger la maison. Le lévirat est aussi une coutume pratiquée, ainsi que la couverture de la tête des femmes par une écharpe. De même les Chiang ferment leurs forêts pendant 50 ans et les ouvrent lors d'une cérémonie solennelle; de même ils ont une fête du nouvel an, mais ils ne pratiquent pas la circoncision. Pourtant après le 7ème jour suivant la naissance d'un enfant ou la veille du 40ème jour, un coq blanc est égorgé en l'honneur du nouveau né et on le nomme à cette occasion.
Origine et légende tribale
Les Chiang Min se considèrent comme des immigrants venant de l'Ouest de l'Asie, après un voyage de 3 ans et de 3 mois, et ils ont toujours perçu les Chinois comme des idolâtres. Ils ont vécu comme une tribu monothéiste autonome jusqu'au 18ème siècle, quand ils s'ouvrirent à la Chine, subissant alors les influences à la fois chrétienne et bouddhiste, et ils s'assimilèrent suite à des mariages interethniques.
Ceux qui ne se sont pas totalement assimilés aux Chinois ont un faciès sémitique.
Sources
Rabbi Marvin Tokayer "Nihon-Yudaya, Huin no Kodaishi" et traduit du Japonais par
Arimasa Kubo, écrivain japonais, remnant@mte.biglobe.ne.jp