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楼主: bastien

【分享】公立大学今年全线降低录取.你知道吗,新闻都报了

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新浪微博达人勋

那我们就自己坚持自己的观点吧,嘎嘎~~我说给中国人丢脸有点重~~~~这里检讨一下自己~~~~不管怎样,占着公立大学得名额却不学习,这怎么说也是一件错误的事情,可能丢脸失我说得太重了,但至少不怎么光彩吧,要打工创业就用正当的办法获取居留吗~~~我还是希望以后留学签证出来的就当个好学生,拿到学位,也算是给中国人争光,想来工作的中国人,我也欢迎,但是不要占着公立大学的位置而破坏人家的规矩,毕竟人家公立大学是用来学习的,不是用来拿居留的,所以大家出国前应该做好打算,只是拿居留打工赚钱也是不太道德的事情,而且也会因为自己做了错误的事情影响到别人~~~~
另外对于楼主所说的事情本人也表示怀疑,sa不太可能去针对一个国家吧,针对所有的留学生倒是可能~~~
2007-7-15 14:35:23

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新浪微博达人勋

诶  楼主 把新闻的出处贴出来呀   还有是什么时候的消息  在什么地方  报纸还是网上  谢谢
2007-7-15 15:00:25

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新浪微博达人勋

支持jerry18
2007-7-15 15:22:36

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新浪微博达人勋

看题目以为是入学很容易呢

原来是...
2007-7-15 15:25:08

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新浪微博达人勋

Post by 三点着地
支持jerry18
谢谢~~~嘎嘎~~~
2007-7-15 16:12:55

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新浪微博达人勋

提示: 作者被禁止或删除 内容自动屏蔽
2007-7-15 16:16:22

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新浪微博达人勋

还好毕业了。。。
2007-7-15 16:18:34

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新浪微博达人勋

提示: 作者被禁止或删除 内容自动屏蔽
2007-7-15 22:37:52

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新浪微博达人勋

请楼主给出准确的网址链接,使我们能看到法语原文
否则我们无法信服,因为这个引文中有很明显的主观色彩。
2007-7-16 00:56:13

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新浪微博达人勋

不管怎样,能好好读书的还是好好读书比较好.法国人这样讲,我觉得是因为中国人相比其他国家的留学生,人数太多,所以撞在了枪口上...大家还是要努力学习滴~
2007-7-16 01:28:23

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新浪微博达人勋

Sarkozy:
Trois points du projet cristallisent l'opposition : la composition des conseils d'administration, qui passeraient de 60 à 20 membres, l'introduction d'une sélection dès l'entrée du master (bac+4) et d'une autonomie à la carte, perçue comme un facteur de "mise en concurrence des universités".
2007-7-16 09:04:04

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新浪微博达人勋

Source:
Paris cherche à séduire les étudiants chinois

Quelques pays riches se disputent la formation des étudiants étrangers. L’idée est de retenir ensuite les meilleurs d’entre eux pour la recherche. Du 23 au 31 octobre, la France va en Chine « vendre » son système universitaire aux jeunes chinois dans le cadre d’un salon international. L’éducation est aussi en train de devenir un marché.

La France n’est pas la seule à participer à cette manifestation en Chine pour y vanter les mérites de son système universitaire. Depuis plusieurs années, les Etats-Unis, l’Allemagne, la Grande-Bretagne et la France sont en compétition pour attirer sur leur sol les étudiants étrangers. Tous ces pays sont en Chine pour ce salon de l’éducation.

Durant la décennie 90, le nombre de jeunes étrangers venant étudier dans les universités et les grandes écoles françaises a baissé. La France a réagi en créant, en 1998, l’agence EduFrance, réseau d’institutions publiques et privées qui dispose aussi de bureaux de promotion à l’étranger. L’agence a donc pour mission de faire connaître à travers le monde le système éducatif français. Depuis, grâce à ces opérations de communication, les statistiques ont remonté. En 2002, les universités françaises ont accueilli 25 000 jeunes qui commençaient leurs études, des jeunes qui s’ajoutaient aux 220 000 étrangers déjà en cours de formation en France. Un quart des doctorants en France sont des étrangers. La moitié des étudiants étrangers en France viennent d’Afrique, l’autre moitié, du reste du monde, avec une poussée de l’Asie, notamment de la Chine.

La France au troisième rang dans la compétition internationale
L’économie et les sciences sont les domaines qui attirent le plus ces jeunes étrangers qui viennent en France. C’est justement ce que souhaite l’Etat français pour pallier le déficit, essentiellement dans les filières scientifiques.Dans cette concurrence mondiale pour former les jeunes des pays émergents, l’Allemagne et la France se trouvent derrière les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Pour ces deux pays, la langue anglaise est dès le départ un atout. Pourtant, la chute est aujourd’hui vertigineuse pour les USA qui ont fermé leurs portes aux étudiants étrangers après les attentats de 2001. Pour des commodités de langue, ces jeunes se sont alors tournés vers le Royaume-Uni, l’Australie, et la Nouvelle-Zélande, qui commence à se positionner dans le secteur de l’éducation. Le Japon arrive lui aussi sur ce marché de la formation post-baccalauréat.
A eux seuls, les 5 grands, (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Australie) se partagent 80 % des étudiants étrangers. Tous ont pour objectif de garder les meilleurs puisque, dans tous les pays riches, la tendance est la même : le déficit de chercheurs, surtout dans les sciences. Les Etats-Unis ont d’ailleurs dans leurs laboratoires, à peu près 50% de chercheurs étrangers et la France en compte environ 10%. La plupart de ces chercheurs expatriés sont partis d’Inde ou de Chine. La majorité d’entre eux retourne tout de même au pays après la fin de leurs études. Mais après avoir passé plusieurs années dans un pays occidental, ils collaborent quasiment systématiquement avec les équipes scientifiques qu’ils ont rencontrées pendant leur formation.



Le prestige du diplôme occidental
Selon les dernières statistiques publiées par EduFrance, le taux de réussite des étudiants étrangers est généralement inférieur à celui des étudiants français, particulièrement dans les disciplines qui exigent une maitrise parfaite de la langue française. Cet obstacle est partiellement levé avec des formations dispensées en anglais. Un guide EduFrance fait le point, en anglais, sur ces filières. Il en existe 300, essentiellement dans le domaine du commerce. La sélection des étudiants étrangers se fait d’ailleurs en anglais. Pour les candidats sélectionnés, il y a ensuite une mise à niveau en français pendant un an avant de commencer les études.
Qu’il soit anglais, allemand ou français, le diplôme occidental a toujours plus de prestige auprès des jeunes étrangers, notamment les Chinois. Leur demande vis-à-vis de la France explose. Alors pour ce salon en Chine, la France envoie une importante délégation. Un site Internet a été créé spécialement, en français et en chinois (www.edufrance-china.com). Les entreprises françaises installées en Chine ont également leur stand pour montrer aux jeunes les possibilités de carrière quand ils rentreront au pays.
Pendant longtemps, les autorités chinoises ont empêché les jeunes de partir. Aujourd’hui elles y voient leur intérêt économique, au retour. L’immense majorité de ces jeunes Chinois part sans bourse. Ils appartiennent à la bourgeoisie naissante. D’autres, plus modestes, qui consentent à cet effort pour que leurs enfants réussissent. Des collectes sont parfois faites au sein de la famille ou dans le village pour payer les études du candidat au départ. C’est une sorte de soutien social informel, qui ne néglige pas non plus de faire appel à la diaspora. Un intermédiaire, un recruteur, qui coûte un peu d’argent à l’étudiant, permet à l’Etat de garder un œil sur ces échanges.
Mais il n’y a pas que la Chine. De la publicité va être faite durant l’année scolaire dans les lycées français de l’étranger. Près de 10 000 jeunes sont en classe de « terminale » dans tous ces lycées. Une brochure leur indique les démarches à faire pour venir en France et quelles sont les filières de formation.



Des universités gérées comme des entreprises
Si beaucoup de jeunes étrangers viennent étudier en France, la tendance actuelle est aussi à la création d‘unités universitaires hors de France. En général ces créations commencent par des contacts privilégiés entre universités. C’est le cas par exemple de la Rochelle et Marseille avec Kuala-Lumpur, en Malaisie. Une licence et un Master y ont été créés par des professeurs français, ou formés par des Français. Il y avait déjà des liens. Une maison du monde malais avait été ouverte à La Rochelle. Ensuite le réseau a fait son œuvre, mais dans des conditions économiques très différentes. L’université française se comporte alors comme un prestataire de services. Contrairement à la tradition française où l’Etat subventionne fortement les études supérieures, quand une université française ouvre une unité à l’étranger, l’étudiant et sa famille paient la formation en totalité, l’enseignement, les locaux… C’est le modèle anglo-saxon qui est appliqué. Les universités étrangères sont gérées comme des entreprises. Certaines universités françaises ne font pas payer leur service. Tout dépend de la demande du partenaire. Plusieurs dizaines de diplômes français ont été créés à l’étranger avec ce système à l’anglo-saxonne. Il en existe au Maroc (gestion), en Tunisie, au Liban, en Russie, en Syrie, au Mexique, en Roumanie, en Bulgarie, en Argentine (Master « environnement »). Le système a du succès car il revient quand même moins cher que de passer plusieurs années en France pour acquérir une formation. Ce système n’a cependant rien à voir avec l’aide  au développement de la France lorsqu’elle finance des universités dans des pays du Sud où les études sont quasiment gratuites.
2007-7-16 09:19:23

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新浪微博达人勋

不要这么说自己人,法国的学生更糟糕!有很多根本就不想念大学!
2007-7-16 10:13:00

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新浪微博达人勋

不要这么说自己人,法国的学生更糟糕!有很多根本就不想念大学!
2007-7-16 10:13:16

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新浪微博达人勋

不要这么说自己人,法国的学生更糟糕!有很多根本就不想念大学!
2007-7-16 10:13:17

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