abandon de poste, absence prolongée injustifiée ou absences fréquentes non justifiées, mêmes courtes,
insubordination (refus d’exécuter des tâches prévues au contrat …),
violences, injures,
harcèlement sexuel,
vol d’une pièce de viande par un cuisinier ou de documents de l’entreprise, photocopie et divulgation de documents couverts par le secret professionnel,
perte du permis de conduire pour conduite en état d’ivresse (même en dehors de son temps de travail), ou même simplement conduite à une vitesse excessive,
emprunt d’une machine ou d’un véhicule de l’entreprise sans autorisation pour un usage personnel,
retard considérable du salarié dans l’exécution de son travail,
refus non justifié d’effectuer des heures supplémentaires ou des heures d’astreinte,
refus de rédiger des rapports commerciaux,
serveur dans la restauration "piquant" dans la caisse,
comptable s’attribuant unilatéralement une prime,
détournement de clientèle vers un concurrent,
dormir sur son lieu de travail ou ne pas respecter l’horaire de travail,
refuser de se déplacer occasionnellement, même en l’absence de clause de mobilité,
demande de remboursement de frais professionnels fictifs,
- non dénonciation d’un vol dont un salarié a été le témoin et aide à la dissimulation du délit (Cour de cassation, 1er décembre 2011),
retard d’un mois dans l’envoi d’un certificat d’arrêt de travail,
refus (ou manquement) dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité (secteur médical, transports, animaux domestiques sur le lieu de travail…),
confusion entre des activités politiques et professionnelles,
minoration de ses déclarations de ressources afin de bénéficier de prestations sociales indues (alors que la salariée travaillait pour une autre caisse …)
diffusion abusive d’informations alarmantes sur la situation de l’entreprise, par exemple à un commissaire aux comptes,
congés payés "anticipés" (départ) ou "retardés" (retour) à plusieurs reprises,
fautes juridiques multiples dans la gestion des dossiers des clients de l’entreprise.