Le leader de la Nouvelle Démocratie (droite) Antonis Samaras a pourtant lui aussi fait une concession en laissant entendre pour la première fois depuis le début de cette crise que sa formation était prête, devant la gravité de la situation, à envisager de participer à un gouvernement de transition.
Mais à peine les deux camps avaient-ils fait un pas l'un vers l'autre dans la journée que les vieux démons ont repris le dessus. Et le débat parlementaire censé aboutir vendredi à un vote de confiance sur la politique menée par le gouvernement s'est traduit par une reprise des hostilités.
Antonis Samaras a notamment exigé la démission du Premier ministre en réitérant ses exigences de la tenue d'élections anticipées. Georges Papandréou a répondu qu'"un gouvernement responsable ne peut pas démissionner". http://www.lexpress.fr/actualite ... ndonne_1047533.html