Le balancier des hanches
La poitrine qui penche
Flou souvenir des pleins des creux
Les doigts longs les mains blanches
Disparus sous les manches
Rideau tiré sur les cheveux
La bouche qu'on enterre
Qui ne doit que se taire
Le monde interdit pour les yeux
Sur ce corps qui s'efface
J'ai regardé en face
L'hypocrisie offerte à Dieu
J'ai attendu attendu
Et je l'ai apperçue
La femme cachée sous le tissu
Elle semblait absente
Sous sa toile de tente
Sous son camouflage aguerrie
Une infime chaînette
La retenait secrète
Prisonnière de son mari
Dans cet avion énorme
Qui survolait les formes
Découpées du golfe Persique
Cette femme-fantôme
Linceul et monochrome
Me rendait triste c'est classique
J'ai attendu attendu
Et je l'ai apperçue
La femme cachée sous le tissu
Depuis Abu Dhabi
Elle gardait l'habit
Intégral et ne parlait pas
Mais surveillait le sol
Qui filait sous le vol
Comme une route sous les pas
Et soudain elle prit
La main de son mari
Il s'était passé quelque chose
Elle arracha le voile
Jeta la longue toile
Et je vis sa métamorphose
Les cheveux libérés
Les genoux desserés
Elle était redevenue femme
Nous venions de franchir
Les portes de l'empire
Et les barrières de sa flamme
Elle embrassa velours
Son mari son amour
Que j'avis pris pour un geôlier
J'ai vu qu'elle était libre
En fragile équilibre
Entre la chaine et le collier
J'ai vu qu'elle était belle
Au nom de toutes celles
Qui n'ont pas pu se délier
J'ai attendu attendu
Et elle est apparue
La femme cachée sous le tissu
Pour moi c'est l'heure de foutre à la poubelle
Mon cœur en bois et pour de bon,
C'est le crane serti d'étincelles
Que je viens donner ma démission.
Allez les oiseaux de mon corps,
Fermez vos belles gueules à passion
Les accidents d'amour à la pelle
Ne m'ont pas toujours donné raison
Refrain :
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Moi j’connais seulement celui qui s’emballe
Je me fabrique un cœur de pierre
Pour devenir un grand garçon
Celui dont tu serais fier
Et pourrais tenir une maison
Mais un beau jour comme ca tu te leve
Avec une idée à la con
Fouiller souvenirs et les rêves
Dans la poubelle à passion
Refrain :
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Moi j’connais seulement celui qui s’emballe
J’ai des fissures
Dans mes chaussures
C’est à coups sur
Mon cœur de pierre
Qui me fait des tremblements de terre
Tais-toi mon cœur
Tais-toi mon cœur, mon cœur c’est toi
Je croyais que tu t’été tué et elle
Ne se souviendras pas de toi
D’ailleurs c’est pas la peine
De se briser comme ca
Tu vas encore lui faire peur
Oh tais-toi mon cœur, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Ecoutes moi. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Ecoutes moi. _ Je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur. _ Je ne te reconnais pas, Je ne te reconnais pas...
I want to buy you flowers
It's such a shame you're a boy
But when you are not a girl
Nobody buys you flowers
I want to buy you flowers
And now i'm standing in the shop
I must confess i wonder
If you will like my flowers
You are so sweet and i'm so alone
Oh darling please
Tell me you're the one
I'll buy you flowers
I'll buy you flowers
Like no other girl did before
You were so sweet and i was in love
Oh darling don't tell me
You found another girl
Forget the flowers
Because the flowers
Never last for ever
Never last for ever
Never last for ever
My love
Dès les premières lueurs
Oh je sombre
Il me parait bien loin l'été
Je n'l'ai pas oublié
Mais j'ai perdu la raison
Et le temps peut bien s'arrêter
Peut bien me confisquer
Toute notion de saison
Dès les premières lueures d'Octobre
En tout bien tout honneur
Oh je sombre
Je sens comme une odeur de lis
Mes muscles se retissent
Et j'attends la floraison
Mais qu'a-t-il pu bien arriver
Entre septembre et mai
J'en ai oublié mon nom
Dès les premières lueurs d'Octobre
En tout bien tout honneur
Oh je sombre
Oh le temps a tourné je compte les pousses
Des autres fleurs de saison
Je ne sortirai pas encore de la mousse
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Ouuu-oouu-ouu-ouu(x4)
Il me parai bien loin l'été
Mes feuilles désséchées
Ne font plus la connection
Mais qu'a t il pu bien arriver
Entre septembre et mai
Je n'fais plus la distinction
Dès les premières lueurs d'Octobre
En tout bien tout honeur
Oh je sombre
Oh le temps a tourné je compte les pousses
Des autres fleurs de saison
Je ne sortirai pas encore de la mousse
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Oouu-ouu-ouu-ouu
Pas plus qu'une autre fleur de saison ouu-ouu-ouu-ouu
Aaaaaaaaaaaa-aaa
Ouu-ouuuu-aaaaaaaaaa
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaît
Croque moi les os, s'il le faut
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...
Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler...
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat...
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat...
Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitot, m'enjola.
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale [2x].
On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie
Ça fait déjà un fameux bail [2x].
Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.
Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant [2x].
On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés.
Dans le tourbillon de la vie.
On a continué à toumer
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On à continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.