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楼主: angelaying

才发现法国这里还真有永久居留的

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新浪微博达人勋

原帖由 九次郎 于 4/7/2008 17:47 发表
永久居留不算好,
我在准备材料,准备申请总统居留.
到时可以修改法律,来给你们发火星居留.

强!!1
2008-7-6 11:45:37

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新浪微博达人勋

大家都水,
我也水一下。
2008-7-6 14:41:14

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新浪微博达人勋

提示: 作者被禁止或删除 内容自动屏蔽
2008-7-7 15:50:15

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新浪微博达人勋

哈哈~~好玩儿~~  绿卡~~
2008-7-7 15:56:47

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新浪微博达人勋

水啥啊

搂主说的对  
大家查一下就有了
2008-7-7 16:03:21

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新浪微博达人勋

原帖由 死神爱苹果 于 2007-12-2 13:49 发表
美国已经没有永久居留的绿卡了,好像从今年开始的


这不是信口开河吗(rf10rf)
2008-7-7 17:17:22

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新浪微博达人勋

我都第3张总理居留的RCPC了.真是的.怎么还没做好啊......
2008-7-7 17:18:04

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新浪微博达人勋

2008-7-7 18:30:16

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新浪微博达人勋

2008-7-7 18:30:37

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新浪微博达人勋

新移民法草案的主要内容

华律师信箱(200)
http://www.oushinet.com    欧洲时报


  最近联华律师事务所经常接到电话,询问即将出台的移民法的具体内容。

  华律师答:新移民法草案的主要内容有如下几点:

  1.移民在原籍国就要会讲法语。 新法草案规定,因家庭团聚名义来法的外国人,在原籍国就要接受对其法语及共和国价值观的了解程度的评估,如果有必要,法国的机构可以在原籍国组织时间不超过两个月的培训。在培训结束之后,重新评估该外国人对法语及共和国价值观的了解程度。

  2.确定申请家庭团聚的人要达到的收入水平应考虑到家庭的规模大小。具体的收入数额将由国家最高行政法院令决定,但是最少应达到最低月工资水平(SMIC),对6人或6人以上家庭,申请家庭团聚的人的收入至少应比最低工资高出1/3。但对残疾人有例外规定。

  3.以家庭团聚名义入境的子女的父母,应准备其家庭融入法国社会,并为此和国家签署“接待及融入合同”。根据该合同,接受关于在法国享受的权利和承担的义务的培训。若不遵守该接待及融入合同的有关规定,并且属于明显不愿遵守,可以中止家庭补助金的发放。

  4.法籍人的配偶在申请签证的国家也必须接受其对法语及共和国价值观的了解程度的评估,如果有必要,法国的机构可以在其申请签证的国家组织时间不超过两个月的培训。在培训结束之后,重新评估该外国人对法语及共和国价值观的了解程度。

  5. 移民亲子基因鉴定确定血缘关系。这是新移民法草案中颇受争议的条款。对申请3个月以上期限的签证申请人或其法定代表人,如果该申请者没有原籍国的身份文件,或法国驻该国的外交及领事部门对该身份文件的真实性有严重怀疑,可以申请通过亲子鉴定的方式确认血缘关系。 但是必须事先获得该外国人的明确同意。亲子鉴定的相关费用由申请者承担。 如果获得签证,该项费用由国家偿还给他。目前这条规定因被参议院法律委员会删去而受挫。

  6.绿卡carte de résident permanent)出台,但有条件。持有目前10年居留证的外国人,在该证到期之后,可以申请长期居留(无限期),但必须达到关于外国人融入和法语水平的标准。对公共秩序构成威胁的人除外。

  本栏目由巴黎联华律师事务所(cabinet XIE & LI Associés)主办,读者来函请寄:cabinet XIE & LI Associés

  113 rue du Temple, 75003 Paris

  电话:0144540574 传真:0144540575

[ 本帖最后由 Utopie 于 2008-7-7 19:32 编辑 ]
2008-7-7 18:31:06

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新浪微博达人勋

JORF n°270 du 21 novembre 2007 page 18993 texte n° 1 LOI LOI n° 2007-1631 du 20 novembre 2007 relative à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile (1) NOR: IMIX0756368L L'Assemblée nationale et le Sénat ont adopté, Vu la décision du Conseil constitutionnel n° 2007-557 DC du 15 novembre 2007 ; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : Chapitre Ier : Dispositions relatives à l'immigration pour des motifs de vie privée et familiale et à l'intégration Article 1 Après l'article L. 411-7 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, il est inséré un article L. 411-8 ainsi rédigé : « Art. L. 411-8. - Pour lui permettre de préparer son intégration républicaine dans la société française, le ressortissant étranger âgé de plus de seize ans et de moins de soixante-cinq ans pour lequel le regroupement familial est sollicité bénéficie, dans son pays de résidence, d'une évaluation de son degré de connaissance de la langue et des valeurs de la République. Si cette évaluation en établit le besoin, l'autorité administrative organise à l'intention de l'étranger, dans son pays de résidence, une formation dont la durée ne peut excéder deux mois, au terme de laquelle il fait l'objet d'une nouvelle évaluation de sa connaissance de la langue et des valeurs de la République. La délivrance du visa est subordonnée à la production d'une attestation de suivi de cette formation. Cette attestation est délivrée immédiatement à l'issue de la formation. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application de ces dispositions, notamment le délai maximum dans lequel l'évaluation et la formation doivent être proposées à compter du dépôt du dossier complet de la demande de regroupement familial, le contenu de l'évaluation et de la formation, le nombre d'heures minimum que la formation doit compter ainsi que les motifs légitimes pour lesquels l'étranger peut en être dispensé. » Article 2 L'article L. 411-5 du même code est ainsi modifié : 1° La dernière phrase du 1° est remplacée par trois phrases ainsi rédigées : « Les ressources doivent atteindre un montant qui tient compte de la taille de la famille du demandeur. Le décret en Conseil d'Etat prévu à l'article L. 441-1 fixe ce montant qui doit être au moins égal au salaire minimum de croissance mensuel et au plus égal à ce salaire majoré d'un cinquième. Ces dispositions ne sont pas applicables lorsque la personne qui demande le regroupement familial est titulaire de l'allocation aux adultes handicapés mentionnée à l'article L. 821-1 du code de la sécurité sociale ou de l'allocation supplémentaire mentionnée à l'article L. 815-24 du même code. » ; 2° A la fin du 3°, les mots : « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » sont remplacés par les mots : « principes essentiels qui, conformément aux lois de la République, régissent la vie familiale en France, pays d'accueil ». Article 3 La dernière phrase du premier alinéa du III de l'article L. 313-11-1 du même code est remplacée par deux phrases ainsi rédigées : « Les ressources doivent atteindre un montant qui tient compte de la taille de la famille du demandeur. Un décret en Conseil d'Etat fixe ce montant qui doit être au moins égal au salaire minimum de croissance mensuel et au plus égal à ce salaire majoré d'un cinquième. » Article 4 Le dernier alinéa de l'article L. 431-2 du même code est complété par une phrase ainsi rédigée : « En cas de violence commise après l'arrivée en France du conjoint mais avant la première délivrance de la carte de séjour temporaire, le conjoint se voit délivrer, sauf si sa présence constitue une menace pour l'ordre public, une carte de séjour temporaire portant la mention "vie privée et familiale. » Article 5 Dans le dernier alinéa de l'article L. 431-2 du même code, les mots : « à l'initiative de l'étranger admis au séjour au titre du regroupement familial, » sont supprimés, et les mots : « de son titre de séjour » sont remplacés par les mots : « du titre de séjour de l'étranger admis au séjour au titre du regroupement familial ». Article 6 Après l'article L. 311-9 du même code, il est inséré un article L. 311-9-1 ainsi rédigé : « Art. L. 311-9-1. - L'étranger admis au séjour en France et, le cas échéant, son conjoint préparent, lorsqu'un ou plusieurs enfants ont bénéficié de la procédure de regroupement familial, l'intégration républicaine de la famille dans la société française. A cette fin, ils concluent conjointement avec l'Etat un contrat d'accueil et d'intégration pour la famille par lequel ils s'obligent à suivre une formation sur les droits et les devoirs des parents en France, ainsi qu'à respecter l'obligation scolaire. Le président du conseil général est informé de la conclusion de ce contrat. « En cas de non-respect des stipulations de ce contrat, manifesté par une volonté caractérisée de l'étranger ou de son conjoint, le préfet peut saisir le président du conseil général en vue de la mise en oeuvre du contrat de responsabilité parentale prévue à l'article L. 222-4-1 du code de l'action sociale et des familles. « Lors du renouvellement de leur carte de séjour, l'autorité administrative tient compte du non-respect manifesté par une volonté caractérisée, par l'étranger et son conjoint, des stipulations du contrat d'accueil et d'intégration pour la famille et, le cas échéant, des mesures prises en application du deuxième alinéa. « Les conditions d'application de ces dispositions sont fixées par décret en Conseil d'Etat. » Article 7 L'article L. 311-9 du même code est ainsi modifié : 1° Dans la quatrième phrase du deuxième alinéa, les mots : « , le cas échéant, » sont supprimés ; 2° Le dernier alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il fixe les situations dans lesquelles le bilan de compétences n'est pas proposé. » Article 8 Dans le troisième alinéa de l'article L. 311-9 du même code, les mots : « il peut être tenu » sont remplacés par les mots : « l'autorité administrative tient ». Article 9 Le quatrième alinéa de l'article L. 311-9 du même code est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il en est de même de l'étranger titulaire de la carte de séjour mentionnée au 5° de l'article L. 313-10 ou à l'article L. 315-1, de son conjoint et de ses enfants âgés de plus de seize ans. » Article 10 L'article L. 211-2-1 du même code est ainsi modifié : 1° Après le premier alinéa, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés : « Sous réserve des conventions internationales, pour lui permettre de préparer son intégration républicaine dans la société française, le conjoint de Français âgé de moins de soixante-cinq ans bénéficie, dans le pays où il sollicite le visa, d'une évaluation de son degré de connaissance de la langue et des valeurs de la République. Si cette évaluation en établit le besoin, les autorités mentionnées au premier alinéa organisent à l'intention de l'intéressé, dans le pays où il sollicite le visa, une formation dont la durée ne peut excéder deux mois, au terme de laquelle il fait l'objet d'une nouvelle évaluation de sa connaissance de la langue et des valeurs de la République. La délivrance du visa est subordonnée à la production d'une attestation de suivi de cette formation. Cette attestation est délivrée immédiatement à l'issue de la formation. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application de ces dispositions, notamment le délai maximum dans lequel l'évaluation et la formation doivent être proposées, le contenu de l'évaluation et de la formation, le nombre d'heures minimum que la formation doit compter ainsi que les motifs légitimes pour lesquels l'étranger peut en être dispensé. « Lorsque la demande de visa émane d'un étranger dont le conjoint de nationalité française établi hors de France souhaite établir sa résidence habituelle en France pour des raisons professionnelles, les dispositions du deuxième alinéa ne sont pas applicables, sauf si le mariage a été célébré à l'étranger par une autorité étrangère et n'a pas fait l'objet d'une transcription. » ; 2° Le début du deuxième alinéa est ainsi rédigé : « Outre le cas mentionné au deuxième alinéa, le visa pour un séjour d'une durée supérieure à trois mois ne peut être refusé... (le reste sans changement) » ; 3° Le dernier alinéa est remplacé par deux alinéas ainsi rédigés : « Lorsque la demande de visa de long séjour émane d'un étranger entré régulièrement en France, marié en France avec un ressortissant de nationalité française et que le demandeur séjourne en France depuis plus de six mois avec son conjoint, la demande de visa de long séjour est présentée à l'autorité administrative compétente pour la délivrance d'un titre de séjour. « Dans des conditions définies par décret en Conseil d'Etat, par dérogation à l'article L. 311-1, le visa délivré pour un séjour d'une durée supérieure à trois mois au conjoint d'un ressortissant français donne à son titulaire les droits attachés à la carte de séjour temporaire prévue au 4° de l'article L. 313-11 pour une durée d'un an. » Article 11 Après la première phrase du deuxième alinéa de l'article L. 311-9 du même code, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « L'étranger pour lequel l'évaluation du niveau de connaissance de la langue prévue à l'article L. 411-8 et au deuxième alinéa de l'article L. 211-2-1 n'a pas établi le besoin d'une formation est réputé ne pas avoir besoin d'une formation linguistique. » Article 12 Le 7° de l'article L. 313-11 du même code est complété par une phrase ainsi rédigée : « L'insertion de l'étranger dans la société française est évaluée en tenant compte notamment de sa connaissance des valeurs de la République. » Article 13 I. - L'article L. 111-6 du même code est complété par neuf alinéas ainsi rédigés : « Le demandeur d'un visa pour un séjour d'une durée supérieure à trois mois, ou son représentant légal, ressortissant d'un pays dans lequel l'état civil présente des carences, qui souhaite rejoindre ou accompagner l'un de ses parents mentionné aux articles L. 411-1 et L. 411-2 ou ayant obtenu le statut de réfugié ou le bénéfice de la protection subsidiaire, peut, en cas d'inexistence de l'acte de l'état civil ou lorsqu'il a été informé par les agents diplomatiques ou consulaires de l'existence d'un doute sérieux sur l'authenticité de celui-ci qui n'a pu être levé par la possession d'état telle que définie à l'article 311-1 du code civil, demander que l'identification du demandeur de visa par ses empreintes génétiques soit recherchée afin d'apporter un élément de preuve d'une filiation déclarée avec la mère du demandeur de visa. Le consentement des personnes dont l'identification est ainsi recherchée doit être préalablement et expressément recueilli. Une information appropriée quant à la portée et aux conséquences d'une telle mesure leur est délivrée. « Les agents diplomatiques ou consulaires saisissent sans délai le tribunal de grande instance de Nantes pour qu'il statue, après toutes investigations utiles et un débat contradictoire, sur la nécessité de faire procéder à une telle identification. « Si le tribunal estime la mesure d'identification nécessaire, il désigne une personne chargée de la mettre en oeuvre parmi les personnes habilitées dans les conditions prévues au dernier alinéa. « La décision du tribunal et, le cas échéant, les conclusions des analyses d'identification autorisées par celui-ci sont communiquées aux agents diplomatiques ou consulaires. Ces analyses sont réalisées aux frais de l'Etat. « Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis du Comité consultatif national d'éthique, définit : « 1° Les conditions de mise en oeuvre des mesures d'identification des personnes par leurs empreintes génétiques préalablement à une demande de visa ; « 2° La liste des pays dans lesquels ces mesures sont mises en oeuvre, à titre expérimental ; « 3° La durée de cette expérimentation, qui ne peut excéder dix-huit mois à compter de la publication de ce décret et qui s'achève au plus tard le 31 décembre 2009 ; « 4° Les modalités d'habilitation des personnes autorisées à procéder à ces mesures. » II. - Dans le premier alinéa de l'article 226-28 du code pénal, après les mots : « procédure judiciaire », sont insérés les mots : « ou de vérification d'un acte de l'état civil entreprise par les autorités diplomatiques ou consulaires dans le cadre des dispositions de l'article L. 111-6 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile ». III. - Une commission évalue annuellement les conditions de mise en oeuvre du présent article. Elle entend le président du tribunal de grande instance de Nantes. Son rapport est remis au Premier ministre. Il est rendu public. La commission comprend : 1° Deux députés ; 2° Deux sénateurs ; 3° Le vice-président du Conseil d'Etat ; 4° Le premier président de la Cour de cassation ; 5° Le président du Comité consultatif national d'éthique ; 6° Deux personnalités qualifiées, désignées par le Premier ministre. Son président est désigné parmi ses membres par le Premier ministre. Article 14 La seconde phrase du deuxième alinéa de l'article L. 313-12 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile est ainsi rédigée : « Toutefois, lorsque la communauté de vie a été rompue en raison de violences conjugales qu'il a subies de la part de son conjoint, l'autorité administrative ne peut procéder au retrait du titre de séjour de l'étranger et peut en accorder le renouvellement. » Article 15 Le deuxième alinéa de l'article L. 313-12 du même code est complété par une phrase ainsi rédigée : « En cas de violence commise après l'arrivée en France du conjoint étranger mais avant la première délivrance de la carte de séjour temporaire, le conjoint étranger se voit délivrer, sauf si sa présence constitue une menace pour l'ordre public, une carte de séjour temporaire portant la mention "vie privée et familiale. » Article 16 Dans la seconde phrase de l'article L. 314-5-1 du même code, les mots : « à l'initiative de l'étranger » sont supprimés. Article 17 La section 2 du chapitre IV du titre Ier du livre III du même code est complétée par une sous-section 4 ainsi rédigée : « Sous-section 4 « La carte de résident permanent « Art. L. 314-14. - A l'expiration de sa carte de résident délivrée sur le fondement de l'article L. 314-8, L. 314-9, L. 314-11 ou L. 314-12, une carte de résident permanent, à durée indéterminée, peut être délivrée à l'étranger qui en fait la demande, sauf si sa présence constitue une menace pour l'ordre public et à condition qu'il satisfasse aux conditions prévues à l'article L. 314-2. « Lors du dépôt de sa demande de renouvellement de carte de résident, l'étranger est dûment informé des conditions dans lesquelles il pourra se voir accorder une carte de résident permanent. « Les articles L. 314-4 à L. 314-7 sont applicables à la carte de résident permanent. « Lorsque la carte de résident permanent est retirée à un ressortissant étranger qui ne peut faire l'objet d'une mesure d'expulsion en application des articles L. 521-2 ou L. 521-3, une carte de séjour temporaire lui est délivrée de plein droit. »
2008-7-7 18:31:28

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新浪微博达人勋

我就不明白了  凭什么要嘲笑别人
2008-7-7 18:33:28

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新浪微博达人勋

原帖由 汪叫兽 于 2008-7-7 18:18 发表
我都第3张总理居留的RCPC了.真是的.怎么还没做好啊......

那是菲勇没下台,他下台了,你的居留卡就做好了.
2008-7-12 16:32:14

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新浪微博达人勋

俺还有中国的身份证呢(rf4rf)
2008-7-13 12:29:57

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新浪微博达人勋

这篇也太可乐了~~~~ :11700:
2008-7-25 12:29:12

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