Le 6 novembre 2013, Fagor-Brandt, la filiale française du groupe espagnol qui emploie 1 800 salariés, annonce son dépôt de bilan4. Le même jour, mais quelques heures plus tard, les autorités espagnoles annoncent également le dépôt de bilan de l'ensemble du groupe5. Au mois de décembre 2013, le Journal officiel annonce que le groupe en redressement judiciaire recevra une aide de l'état de 10 millions d'euros pour relancer en partie le site d'Orléans6.
Le 15 avril 2014, le conglomérat algérien Cevital reprend les activités françaises, polonaises et espagnoles du groupe Fagor-Brandt7.