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Au fil des années, la liste des activités interdites n'a cessé de se réduire et les entreprises étrangères investissent de plus en plus en solo. Résultat : "Les joint-ventures, qui avaient souvent des airs de mariage forcé, ne sont plus la règle, poursuit Alban Dastugue. Aujourd'hui, sur trois implantations françaises en Chine, une seule prend la forme d'une joint-venture. Les deux tiers se font sur la base de capitaux 100 % étrangers : ce qu'on appelle la WOFE (Wholly Owned Foreign Enterprise)".