RER E gare de Villiers-sur-Marne-Plessis-Trévise (Val-de-Marne)
这个是2010年7月的强奸案,女的19,RER D
Une plainte après un viol dans le RER D
AFP
05/07/2010 | Mise à jour : 11:33 Réactions (43)
Une jeune femme de 19 ans a porté plainte après avoir été violée par trois hommes samedi soir. De source policière, les agresseurs présumés l'auraient abordée dans le RER D à hauteur de la station Villeneuve-Prairie, dans le Val-de-Marne.
"Il faut encore qu'on vérifie plusieurs éléments. On attend d'avoir des éléments qui permettent d'établir les faits avec plus de précision", a indiqué un enquêteur, confirmant une information du Parisien.
04年的 RER C上的
Deux suspects interpellés pour le viol dans le RER C
Publié le 14 octobre 2004.
La police a arrêté deux suspects dans l’affaire de la jeune fille violée il y a une quinzaine de jours dans le RER C. Un premier homme, soupçonné de vols avec violence sur la victime, a été interpellé dans le RER, dimanche, par la police de proximité urbaine. Le lendemain, un jeune homme de 18 ans, suspecté d’avoir commis le viol, a été arrêté à son domicile. Ils ont été déférés mardi devant le parquet de Pontoise (95). Le 30 septembre dernier, deux hommes avaient volé un portable et un lecteur MP3 à une adolescente de 16 ans entre les gares d’Argenteuil et d’Ermont (95). L’un d’entre eux l’avait ensuite violée dans les toilettes du train. L’enquête a été confiée au service régional de la police des transports, mis en place récemment. Le système de vidéo surveillance s’est révélé particulièrement efficace pour procéder à ces arrestations.
RER E上的强奸案 2010年8月末的
Viol à la gare RER E : un jeune homme interpellé et mis en garde à vue
Ecrit le samedi 21 août 2010
Paris, 11h45
Accusé de viol, un jeune homme de 18 ans a été interpellé et placé en garde à vue mercredi 19 août 2010. Il a commis ce viol à la gare du RER E de Villiers-sur-Marne-Plessis-Trévise dans le Val-de-Marne.
Cet individu, est déjà connu des services de police pour des faits similaires, alors qu'il était encore mineur.
Sa derniere agression, à la gare du RER, a eu lieu suite a une fête d'anniversaire à laquelle le jeune homme était invité. Il avait proposé à l'une des invitée, agée d'une vingtaine d'année, de l'a raccompagner. Une fois à la gare, le jeune violeur a frappé et forcé la victime à lui pratiquer une fellation. Trahi par les dires de la jeune femme et son empreinte génétique, l'agresseur a avoué les faits.
RER A 抢劫强奸 2008年
Viol dans le RER A : un homme mis en examen
Un homme de 22 ans a été déféré mardi au parquet de Versailles où il devait être mis en examen pour viol et vol avec violence après avoir agressé une jeune femme dimanche soir dans le RER A, a-t-on appris mardi de source judiciaire. L'homme est également soupçonné d'autres agressions en région parisienne.
Une jeune étudiante de 22 ans a été agressée dans le RER A, dimanche soir, à hauteur de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) par un homme de 22 ans, sans domicile fixe., "La jeune femme a été prise à partie, jetée à terre, frappée au visage et agressée sexuellement", selon la source judiciaire......
97年最有名的RER上强奸女警察案,具体不知道那条线
Viol d'une femme policier dans le RER: deux suspects remis en liberté. L'enquête a renforcé l'alibi du principal prévenu.
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BERTRAND Olivier
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Djamel E. et Abdel A., les deux jeunes garçons mis en examen pour
l'agression et le viol d'une femme policier, le 25 octobre 1996, dans le RER parisien, ont été remis en liberté jeudi par la chambre d'accusation de la cour d'appel de Paris. Les magistrats ont apparemment été convaincus par deux éléments nouveaux: un projet de réquisitoire de non-lieu en leur faveur rédigé par le procureur adjoint d'Evry, Hubert Dujardin, et, surtout, les derniers développements de l'enquête, qui renforcent l'alibi de Djamel E., le principal suspect.
Pour se trouver dans le train entre Brétigny-sur-Orge et Dourdan où Sandrine L. a été agressée par cinq jeunes gens, Djamel aurait dû, le 25 octobre, prendre le RER de 14h15 à Saint-Cyr-L'Ecole, où il effectue son service militaire. Mais un garçon qui travaille avec lui au lycée militaire, Eric L., affirme que Djamel lui a demandé une cigarette à la même heure. Jusqu'à présent, les policiers estimaient que le témoin pouvait se tromper de jour ou d'horaire. Mais on fêtait un baptême ce jour-là au mess, ce qui situe le jour. Et Eric explique qu'il a regardé l'heure après avoir croisé Djamel. Puis qu'il est allé en ville retirer de l'argent. Le juge d'instruction a fait vérifier: le retrait a été effectué à 14h38. Les policiers ont mesuré le trajet: le témoignage d'Eric semble désormais sans accrocs, et il paraît exclure que Djamel ait eu ensuite le temps de prendre le RER de 14h15.
C'est peut-être cet élément qui explique le revirement de la chambre d'accusation. En juin, celle-ci avait décidé de renvoyer en détention les deux garçons que le juge chargé de l'affaire, Odile Capo di Casa, avait laissé sortir. «Je ne suis pas scandalisé par la décision de la chambre, disait hier Me Gilbert Collard, avocat de Sandrine. Elle est saine. S'ils sont innocents, on verra. On n'est pas dans une bagarre de cour d'école ou dans un western. On ne cherche pas un coupable à tout prix.» Pour Me Collard, ces décisions contradictoires de la justice montrent qu'il y a «de la place pour la version de la victime comme pour celle des accusés». Même si la justice devra un jour trancher entre la version de la policière, qui a reconnu en Djamel son agresseur et demeure convaincu de sa culpabilité, et les protestations d'innocence du mis en examen.
De son côté, le bâtonnier d'Evry, Franck Natali, défenseur de Djamel et Abdel, a déposé mercredi une requête en nullité de procédure. Il estime que les «aveux» de ses clients, qui s'étaient vite rétractés, ont été arrachés en janvier après des violences policières. Il a informé de sa démarche les magistrats de la chambre.
Au palais de justice d'Evry, l'attitude de la partie civile suscite également quelques commentaires. La juge Odile Capo di Casa souhaite depuis des semaines obtenir une expertise psychologique de Sandrine L. Elle n'a toujours pas eu gain de cause. L'avocat de la jeune femme lui a fait savoir que Sandrine, «pour des raisons financières», ne pouvait se déplacer à Paris, et qu'elle souhaitait être examinée en Bretagne, où elle réside désormais. La magistrate désire également entendre la victime, mais Sandrine L. ne vient plus, en raison de son «état psychologique», qui «ne permet pas une confrontation», explique son avocat. La juge lui a écrit qu'il ne s'agissait pas d'une confrontation, mais d'une simple audition. Sandrine n'est cependant pas venue, et elle n'a jamais expédié le certificat médical qu'elle avait promis.
Désormais, l'affaire va repartir de zéro, avec quelques acteurs nouveaux. La sécurité départementale d'Evry, qui menait l'enquête, a été dessaisie au profit du groupe criminel de la police judiciaire de Versailles. Et le juge Odile Capo di Casa lâchera bientôt le dossier. Comme cela était prévu de longue date, elle quitte Evry pour Melun, où elle prendra son poste le 1er septembre.