A propos de Bernard Clavel
" Bernard Clavel c’est, pour moi, un outil sentimental d’un usage robuste mais délicat. Un écrivain de valeur pure, comme je voudrais l’avoir été, un écrivain peu intellectuel, mais en prise directe avec le mot humain : l’œuvre entière de Bernard Clavel est une victoire de la paysannerie lettrée. "
Pierre Mac Orlan
“Qualité de l’émotion, conduite du récit, il me rappelle les grands Russes.”
André Maurois
“Hugo, Giono : tels sont les deux repères, si l’on veut situer Clavel.”
François Nourissier,
de l’académie Goncourt
“Clavel ne donne ni dans la bourgeoisie aisée ni dans l’aristocratie mélancolique. Ceux qui redoutent de se trouver confrontés avec la misère des gens de peu évitent sans doute de le lire. Et ils auront tort. Quel ami des lettres n’a pas été secoué à un moment ou un autre par l’ouragan Clavel ?”
Edmonde Charles-Roux, de l’académie Goncourt
“C’est l’écrivain prolétarien français qui a le mieux «réussi»; c’est à dire qu’il a réussi la difficile équation d’être lu par des lecteurs qui appartiennent au même monde de la quotidienneté que les personnages de ses romans.”
Michel Ragon
“Clavel est le plus populaire et le plus prolixe de nos écrivains. Le plus aimé du grand public. Il incarne la France des apprentis contre celle des grandes écoles. C’est un artisan des lettres. Le goût du travail bien fait est l’une des principales raisons de son succès. Mais aussi, son merveilleux talent de conteur. Clavel a le chic pour restituer des mondes et des époques révolus. Là où tant d’autres tournent autour de leur nombril, lui raconte des histoires. Il ne faut pas aller chercher plus loin pour comprendre la faveur du public.”
Sébastien Le Fol,
Le Figaro
“Clavel est un raconteur d’histoires, un auteur dont on aimerait qu’il en annonce d’autres, des jeunes qui se mettraient à leur tour, à se pencher sur ces gens de peu, ces gens de rien qui ont fait notre littérature avant de disparaître des livres.”
Christian Sauvage,
Le Journal du Dimanche
“Dans la belle langue simple et dure qui est la sienne, Clavel ne ménage personne. Parce qu’il respecte ses personnages, ces gens du peuple sans défense, il raconte sans fioritures. Sans trahir.”
Dominique Mobailly, La Vie
“Une énorme stature d’écrivain.”
Françoise Xenakis |